La rencontre, qui devait servir d’occasion à la signature du document représentant le protocole d’accord sur la stabilisation de l’espace scolaire, n’a donc finalement pas eu lieu. La principale raison du report de la signature du pacte de paix entre le gouvernement et les enseignants, est liée aux amendements apportés par les syndicalistes sur certains de leurs préoccupations à savoir les validations des années de vacatariat et de contractualisation, et sur les échéanciers par rapport au paiement des différentes indemnités de la fonction.
Le gouvernement est donc invité à revoir le contenu de son document en apportant plus de précisions sur la satisfaction des principaux points de revendications du corps enseignant. Les enseignants ont affirmé au cours de la rencontre leur disponibilité à signer le document, si une fois ces réglages sont effectués sur le protocole par la Commission technique. La balle est donc dans le camp du gouvernement qui a apprécié cette attitude des enseignants par un souci de rendre beaucoup plus crédible le document, a expliqué le ministre de la Fonction publique. Selon lui, il faut désormais parapher des accords réalistes et réalisables pour éviter demain des grèves sur le motif de non-respect des engagements par le gouvernement.
Vu la bonne volonté affichée par les deux parties vers la stabilisation du système scolaire dans les années à venir, il est fort probable que le protocole d’accord sera signé la semaine prochaine au siège du Conseil économique, social et environnemental.
Le gouvernement est donc invité à revoir le contenu de son document en apportant plus de précisions sur la satisfaction des principaux points de revendications du corps enseignant. Les enseignants ont affirmé au cours de la rencontre leur disponibilité à signer le document, si une fois ces réglages sont effectués sur le protocole par la Commission technique. La balle est donc dans le camp du gouvernement qui a apprécié cette attitude des enseignants par un souci de rendre beaucoup plus crédible le document, a expliqué le ministre de la Fonction publique. Selon lui, il faut désormais parapher des accords réalistes et réalisables pour éviter demain des grèves sur le motif de non-respect des engagements par le gouvernement.
Vu la bonne volonté affichée par les deux parties vers la stabilisation du système scolaire dans les années à venir, il est fort probable que le protocole d’accord sera signé la semaine prochaine au siège du Conseil économique, social et environnemental.