Il s'agissait de l'un des clashs virtuels les plus scrutés. Léonard Trierweiler et Louis Sarkozy, respectivement fils de Valérie Trierweiler et de Nicolas Sarkozy, ont enterré la hache de guerre en partageant un verre à une terrasse d'un café parisien.
"Rencontre avec @Sarko_Junior au détour d'une rue, la Battle a fini devant un verre", annonçait dimanche sur Twitter l'ex beau-fils de François Hollande. Un message aussitôt partagé par Louis Sarkozy qui ajoutait "Bro's Night Out" (Sortie entre frangins). Rencontre fortuite ou organisée. Nul ne le sait.
"Rencontre avec @Sarko_Junior au détour d'une rue, la Battle a fini devant un verre", annonçait dimanche sur Twitter l'ex beau-fils de François Hollande. Un message aussitôt partagé par Louis Sarkozy qui ajoutait "Bro's Night Out" (Sortie entre frangins). Rencontre fortuite ou organisée. Nul ne le sait.
Mais elle surprend compte tenu de la guéguerre permanente que se livraient les deux garçons de 18 ans. Ceux-ci ne laissaient jamais passer la moindre occasion de s'envoyer des vannes via Twitter, concernant les problèmes familiaux des Trierweiler ou les problèmes judiciaires de Nicolas Sarkozy.
La dernière en date remontait au 31 mars dernier, lorsque Léonard Trierweiler se moquait de l'audition de Nicolas Sarkozy dans les dossiers des "pénalités de l'UMP".
La dernière en date remontait au 31 mars dernier, lorsque Léonard Trierweiler se moquait de l'audition de Nicolas Sarkozy dans les dossiers des "pénalités de l'UMP".
Brillant au cours d'une interview accordée à Mouloud Achour en avril dernier, Léonard Trierweiler avait minimisé l'ampleur de leur inimitié. "C'était toujours sur le ton de la vanne. On se prend la tête tout le temps, mais c'est de l'humour. Je me tape des barres".
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