De l'avis du secrétaire exécutif du comité national de lutte contre le Sida (CNLS), Dr Ibra Ndoye, des facteurs anatomiques, biologique et économique rendent vulnérables les femmes à l'infection de la pandémie. " La difficulté de négociation sexuelle se pose pour les femmes dans le couple. Il urge de parler aux hommes, ils ont une grande part de responsabilité car disposant d'un pouvoir infectant plus élevé" déplore le Dr Ndoye.
A l'heure actuelle, rares sont les femmes qui osent se prémunir de préservatif féminin dont le prix varie entre 500 et 1000 francs Cfa. Il s' y ajoute déplore Massogui Thiandoum, que les femmes mariées ont une image péjorative du préservatif féminin, car au début les tests ont été faits sur les travailleuses du sexe.
En fait, les résultats des enquêtes de la surveillance sentinelle et de l’enquête de surveillance combinée, menées de 2009 à 2010, ont noté de manière générale une tendance à la baisse de la féminisation de l'épidémie.
Aujourd'hui, les sénégalais ont appris, à leur dépens, que le Sida n'est pas synonyme de comportements déviants ou de vagabondage sexuel. C'est le cas de se marabout établit dans la cité religieuse de Touba qui a transmis, à son insu, le virus à ses trois épouses, rapporte l'alliance nationale de lutte contre le Sida. En fait, c'est la quatrième épouse, commerçante, toujours entre deux avions qui est à l'origine de cette contamination. Confrontée à des difficultés pour convoyer ses marchandises, elle ne s'est pas gênée d'entretenir des relations sexuelles avec un marocain qui devait lui faciliter les démarches. Et, les conséquences de son geste ont été dramatiques pour toute la famille.
En réalité, le Sida s’immisce de plusieurs manières dans les couples.
Certain conjoints sont bouleversés et en veulent à leurs partenaires. Des couples se disloque, le coeur plein de rage, au moment où d'autre accompagne leur partenaire dans la gestion de la maladie, à en croire Massogui Thiandoum, chargé des programmes de l'alliance de lutte contre le Sida.
A l'heure actuelle, rares sont les femmes qui osent se prémunir de préservatif féminin dont le prix varie entre 500 et 1000 francs Cfa. Il s' y ajoute déplore Massogui Thiandoum, que les femmes mariées ont une image péjorative du préservatif féminin, car au début les tests ont été faits sur les travailleuses du sexe.
En fait, les résultats des enquêtes de la surveillance sentinelle et de l’enquête de surveillance combinée, menées de 2009 à 2010, ont noté de manière générale une tendance à la baisse de la féminisation de l'épidémie.
Aujourd'hui, les sénégalais ont appris, à leur dépens, que le Sida n'est pas synonyme de comportements déviants ou de vagabondage sexuel. C'est le cas de se marabout établit dans la cité religieuse de Touba qui a transmis, à son insu, le virus à ses trois épouses, rapporte l'alliance nationale de lutte contre le Sida. En fait, c'est la quatrième épouse, commerçante, toujours entre deux avions qui est à l'origine de cette contamination. Confrontée à des difficultés pour convoyer ses marchandises, elle ne s'est pas gênée d'entretenir des relations sexuelles avec un marocain qui devait lui faciliter les démarches. Et, les conséquences de son geste ont été dramatiques pour toute la famille.
En réalité, le Sida s’immisce de plusieurs manières dans les couples.
Certain conjoints sont bouleversés et en veulent à leurs partenaires. Des couples se disloque, le coeur plein de rage, au moment où d'autre accompagne leur partenaire dans la gestion de la maladie, à en croire Massogui Thiandoum, chargé des programmes de l'alliance de lutte contre le Sida.
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