Macky Sall est attendu sur beaucoup de choses pour aider cette vaste région faisant le tiers du territoire national à décoller au niveau économique. Les responsables du développement régional ont déjà monté un projet de modernisation et de développement agricole de « 34 milliards de FCfa », pour le soumettre à l’appréciation du gouvernement. Ce qui veut dire que Tambacounda attend une enveloppe beaucoup plus consistante, s’il faut tenir compte des autres secteurs notamment l’élevage qui fait partie des atouts de la région. Le projet tourne autour de la réalisation des infrastructures de stockage et d’augmentation du capital semencier dans la région, l’aménagement des rizières dans les bas-fonds et l’aménagement des pistes de productions». L’objectif est de « moderniser l’agriculture » dans la région, selon le directeur de l’agence régionale de développement, Pierre Diouf.
Malgré sa superficie de 42.706 km², la région de Tambacounda a une population très faible avec seulement 630.247 habitants au recensement de 2009. Le taux de pauvreté est passé de « 21% à 41% en 2005 » et la région ne présente que 2% dans les emplois permanents dans le pays. Tambacounda a pourtant des potentialités importantes en eau et en foncier, mais qui ne sont malheureusement pas exploitées. Sur des réserves foncières estimées à plus de « 900.000 hectares, seulement 206.000 hectares » sont aujourd’hui mises en œuvre, selon les informations données par Pierre Diouf. La région a aussi une bonne pluviométrie située entre « 900 et 1200 mm de pluies par an » et un réseau hydrographique très denses avec les fleuves Gambie, Sénégal, Falémé et leurs affluents. C’est ces atouts naturels sur lesquels, il faudra compter pour booster le développement économique et social de la région.
Malgré sa superficie de 42.706 km², la région de Tambacounda a une population très faible avec seulement 630.247 habitants au recensement de 2009. Le taux de pauvreté est passé de « 21% à 41% en 2005 » et la région ne présente que 2% dans les emplois permanents dans le pays. Tambacounda a pourtant des potentialités importantes en eau et en foncier, mais qui ne sont malheureusement pas exploitées. Sur des réserves foncières estimées à plus de « 900.000 hectares, seulement 206.000 hectares » sont aujourd’hui mises en œuvre, selon les informations données par Pierre Diouf. La région a aussi une bonne pluviométrie située entre « 900 et 1200 mm de pluies par an » et un réseau hydrographique très denses avec les fleuves Gambie, Sénégal, Falémé et leurs affluents. C’est ces atouts naturels sur lesquels, il faudra compter pour booster le développement économique et social de la région.