Ce rang du Sénégal s’explique, d’une part, selon l’étude, par le fait que notre pays a l’une des connections les plus chères au monde. Toutefois, cette inaccessibilité fait que le Sénégalais doit travailler près de 10 heures pour s’offrir le forfait internet le moins cher et à haut débit ; soit 4 heures de plus que la moyenne mondiale.
Selon "Sud Quotidien", la recherche de Digital Quality of Life Index (DQL) montre aussi que la qualité d’Internet au Sénégal est relativement mauvaise. Ses vitesses à large bande sont les 87e pires au monde (26,27 Mbps), tandis que la connexion mobile se classe légèrement plus élevée, 79e (22,53 Mbps). Le rapport souligne, toutefois, qu’il est intéressant de noter que le Sénégal a une croissance de haut débit importante, dépassant le leader régional, l’Afrique du Sud.
L’étude DQL est menée par la société de cybersécurité Surfshark en Grande Bretagne. Il évalue les pays sur la base d’un ensemble de cinq (5) piliers fondamentaux du bien-être numérique qui sont, entre autres, l’accessibilité, la qualité du service et la sécurité sur le réseau. S’agissant de la sécurité électronique, le Sénégal se classe au 92e rang mondial et la cybersécurité n’atteint pas le Top 100.
Selon "Sud Quotidien", la recherche de Digital Quality of Life Index (DQL) montre aussi que la qualité d’Internet au Sénégal est relativement mauvaise. Ses vitesses à large bande sont les 87e pires au monde (26,27 Mbps), tandis que la connexion mobile se classe légèrement plus élevée, 79e (22,53 Mbps). Le rapport souligne, toutefois, qu’il est intéressant de noter que le Sénégal a une croissance de haut débit importante, dépassant le leader régional, l’Afrique du Sud.
L’étude DQL est menée par la société de cybersécurité Surfshark en Grande Bretagne. Il évalue les pays sur la base d’un ensemble de cinq (5) piliers fondamentaux du bien-être numérique qui sont, entre autres, l’accessibilité, la qualité du service et la sécurité sur le réseau. S’agissant de la sécurité électronique, le Sénégal se classe au 92e rang mondial et la cybersécurité n’atteint pas le Top 100.