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Accident, insultes, rébellion: Retour sur la Marocaine qui a créé un boucan au commissariat de Dieuppeul

Hier, «L’As» a omis de publier dans sa précédente édition, l’article relatif à une jeune Marocaine qui a créé un boucan au commissariat de Dieuppeul. Pour permettre à ses lecteurs de savoir ce qui s’est passé chez les limiers, la Rédaction a décidé de revenir sur les faits.


Rédigé par leral.net le Vendredi 25 Décembre 2020 à 09:05 | | 0 commentaire(s)|

Accident, insultes, rébellion: Retour sur la Marocaine qui a créé un boucan au commissariat de Dieuppeul
En effet, ivre comme un Polonais pour avoir trop levé le coude, Hind Chnani, qui est étudiante en médecine, s’est mise à bord de sa voiture avant de heurter le véhicule d’Oulimata Kane, gestionnaire de ressources humaines.

Les faits se sont déroulés le 11 décembre dernier. Alors qu’elle dormait auprès de son mari, elle a été réveillée vers 2 h30 du matin par le gardien, qui les a informés que leur véhicule de marque Mercedes Benz, stationné le long du mur de la maison de leur voisin, a été cogné par une voiture de marque Citroën.

« En regardant mon véhicule, j’ai constaté que l’aile arrière côté gauche était cassée de même que le feu arrière gauche. Outrée, j’ai demandé à la Marocaine si elle avait les documents relatifs à la mise en circulation de son véhicule. Son haleine empestait l’alcool. Elle a commencé à m’injurier, avant de marteler qu’elle n’avait pas son permis de conduire. Sur ces entrefaites, un agent du commissariat du Tourisme est venu pour faire le constat. Malgré la présence d’un agent assermenté, la Marocaine a continué de plus belle à nous injurier, le policier et moi », a raconté Oulimata Kane aux enquêteurs, en déposant sa plainte.

Non contente de cela, l’étudiante de 20 ans, de nationalité marocaine, abreuve d’insultes la propriétaire du véhicule et créé un énorme boucan au commissariat de Dieuppeul.

Entendue, Hind Chnani a tout nié, avant de livrer sa version des faits. Malgré ses dénégations, la jeune fille qui a été enfoncée par les témoignages du chef de poste et des éléments du commissariat, n’est pas tirée d’affaire. Puisque son dossier a été transmis au parquet, à qui revient le dernier mot.





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