Le Groupe Mimran dément fermement ces "allégations mensongères", qui ne reposent sur aucun fait matériel avéré. Il n’existe aucune mine de diamants au Sénégal, encore moins au Nord, où la contexture géomorphologique des terres n’est pas diamantifère.
La société qu’il prétend être attributaire de « l’autorisation de prospection » et dont le propriétaire serait Jean Claude Mimran, n’est même pas connue du Registre minier du Sénégal. Qu’à ce jour, il n’existe que deux sociétés bénéficiant de permis de recherche de diamant, 2SH et ICT, dans lesquelles Jean Claude Mimran n’a aucune forme de participation. Il s’agit là d’informations officielles disponibles auprès du Ministère des Mines et accessibles à quiconque aimerait investiguer de bonne foi.
Pour « convaincre » son auditoire, Me Diop s’est livré également, avec emphase, à la lecture et à des commentaires de « correspondances » qu’auraient échangées les parties et qu’il prétend détenir comme preuves.
Sur ce chapitre des « courriers imaginaires », le Groupe précise que M Jean Claude Mimran n’a jamais échangé de correspondances avec Monsieur Aly Ngouille Ndiaye sur ce sujet.
D’après le Groupe Mimran, en vérité, les diamants de maitre Moussa DIOP sont à rechercher dans une mine de mensonges bruts, qu’il exploite à des fins politiciennes.
Pour briguer la confiance des Sénégalais, le candidat devrait avoir un minimum de vraisemblance et un maximum d’honnêteté intellectuelle.
Drôle d’histoire que cette légende d’exploitation de diamant. Ce doit être l’œuvre d’un contrefacteur en manque d’inspiration, pour s’être fourvoyé aussi imprudemment dans la terminologie du lexique administratif en usage.
Le Groupe MIMRAN prévient qu’il ne saurait avaliser les mensonges à l’endroit de ses dirigeants, dans un contexte de compétition politique, où certains acteurs misent sur la diffusion de fausses nouvelles pour arriver à leurs fins.
Par conséquent, il se réserve le droit d’user des procédures légales idoines, pour faire face à tout acte attentatoire à son honneur et à sa crédibilité, qui sont les fondements de ses missions depuis plus de 50 ans.
La société qu’il prétend être attributaire de « l’autorisation de prospection » et dont le propriétaire serait Jean Claude Mimran, n’est même pas connue du Registre minier du Sénégal. Qu’à ce jour, il n’existe que deux sociétés bénéficiant de permis de recherche de diamant, 2SH et ICT, dans lesquelles Jean Claude Mimran n’a aucune forme de participation. Il s’agit là d’informations officielles disponibles auprès du Ministère des Mines et accessibles à quiconque aimerait investiguer de bonne foi.
Pour « convaincre » son auditoire, Me Diop s’est livré également, avec emphase, à la lecture et à des commentaires de « correspondances » qu’auraient échangées les parties et qu’il prétend détenir comme preuves.
Sur ce chapitre des « courriers imaginaires », le Groupe précise que M Jean Claude Mimran n’a jamais échangé de correspondances avec Monsieur Aly Ngouille Ndiaye sur ce sujet.
D’après le Groupe Mimran, en vérité, les diamants de maitre Moussa DIOP sont à rechercher dans une mine de mensonges bruts, qu’il exploite à des fins politiciennes.
Pour briguer la confiance des Sénégalais, le candidat devrait avoir un minimum de vraisemblance et un maximum d’honnêteté intellectuelle.
Drôle d’histoire que cette légende d’exploitation de diamant. Ce doit être l’œuvre d’un contrefacteur en manque d’inspiration, pour s’être fourvoyé aussi imprudemment dans la terminologie du lexique administratif en usage.
Le Groupe MIMRAN prévient qu’il ne saurait avaliser les mensonges à l’endroit de ses dirigeants, dans un contexte de compétition politique, où certains acteurs misent sur la diffusion de fausses nouvelles pour arriver à leurs fins.
Par conséquent, il se réserve le droit d’user des procédures légales idoines, pour faire face à tout acte attentatoire à son honneur et à sa crédibilité, qui sont les fondements de ses missions depuis plus de 50 ans.