Lors de la clôture des Assises de l'Union de la presse francophone, le ton est dur et sévère. Devant un parterre de journalistes étrangers, le chef de l'Etat, Alpha Condé, cherche à remettre de l'ordre.
S'exprimant sur la crise qui secoue l'enseignement dans son pays, le président assure que les leaders du mouvement sont des dissidents. Il invite, avec force, la presse à suivre son angle pour traiter cette information.
« Toute radio qui fera passer désormais les communiqués de Souma [Aboubacar Souma, secrétaire général adjoint du syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée], un syndicaliste en rébellion, sera considérée comme complice de la rébellion contre l’Etat et sera fermée, pour que l’on respecte l’Etat, pour que l’on respecte la loi », a déclaré le président guinéen Alpha Condé.
WalfQuotidien
S'exprimant sur la crise qui secoue l'enseignement dans son pays, le président assure que les leaders du mouvement sont des dissidents. Il invite, avec force, la presse à suivre son angle pour traiter cette information.
« Toute radio qui fera passer désormais les communiqués de Souma [Aboubacar Souma, secrétaire général adjoint du syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée], un syndicaliste en rébellion, sera considérée comme complice de la rébellion contre l’Etat et sera fermée, pour que l’on respecte l’Etat, pour que l’on respecte la loi », a déclaré le président guinéen Alpha Condé.
WalfQuotidien