Après les législatives, un remaniement du gouvernement en vue

Comme freinés dans leurs ardeurs depuis leur nomination, "aucun ministre n'a pris des engagements sérieux avec des investisseurs ou opéré des chamboulements internes", nous apprend-on. Aux interlocuteurs qui leur demandent un agenda précis de travail, ils s'entendent dire, invariablement : "Mieux vaut laisser passer les législatives et après on avisera". Principe de précaution oblige.

Des sources concordantes confirment "des réaménagements allant dans le sens de faire entrer quelques responsables de l'Alliance pour la République (Apr), de retailler certains départements et de regrouper d'autres", afin de mieux rationaliser le fonctionnement de l'administration publique.

Lesenegalais