En effet, afin de dissiper son analphabétisme criard et bénéficier des opportunités, ce député connu comme un grand transporteur dans le septentrion, a choisi de falsifier le diplôme de bac d’une tierce personne. Sa stratégie, utiliser le procédé des falsificateurs des faux diplômes. Il prend le diplôme d’un jeune qui a eu le bac en 2012, change le nom de l’impétrant, le lieu et la date de la validation du diplôme.
Aussi facilement, le député connu pour exceller dans un mauvais français devient un bachelier avec la mention " bien ". Félicitation alors!
Seulement, avec ce faux diplôme, il essaie de postuler à tout vent mais le caractère inauthentique du diplôme qu’il présente ne manque pas d’attirer l’attention.
Le faussaire est ainsi vite détecté et son dossier isolé. C’est pourtant celui qui est investi depuis quelques mois du titre d’honorable député avec une immunité parlementaire.
Plus grave, il est élu d’un parti dont le leader semble toujours prôner l’excellence et ne donne pas l’impression de cautionner le faux. Et pourtant, un de ses meilleurs soutiens s’adonne à merveille à cette pratique.
Mais en dépit de son titre de député, il n’est pas tranquille, la justice est mise au parfum du dossier et des poursuites seront bientôt lancées contre le déshonorable député.
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