Bouna Kanté a une appréciation très mesurée de ce qu’on a fini d’appeler dossier « Sweet beauté » impliquant le député et président du Pastef, Ousmane Sonko et la masseuse Adji Sarr.
Justement, pour le responsable aperiste et non moins secrétaire général de la CGIS SA à la Caisse de Dépôt et Consignation, il faut dans cette affaire « laisser les faits parler et manifester la vérité».
Selon Bouna Kanté, Ousmane Sonko bénéficie de la présomption certes, mais Adji Sarr a droit aussi à une présomption de vérité.
De cette position, M. Kanté estime que seule la justice est habilitée à trancher.
Justement, pour le responsable aperiste et non moins secrétaire général de la CGIS SA à la Caisse de Dépôt et Consignation, il faut dans cette affaire « laisser les faits parler et manifester la vérité».
Selon Bouna Kanté, Ousmane Sonko bénéficie de la présomption certes, mais Adji Sarr a droit aussi à une présomption de vérité.
De cette position, M. Kanté estime que seule la justice est habilitée à trancher.