Le projet ‘’Bus rapides sur voie réservée’’ (BRT) desservira l’agglomération de Dakar du Nord au Sud depuis Guédiawaye, à travers 14 communes, ‘’avec un temps de parcours réduit’’ de 90 à 45 minutes, a appris l’APS, jeudi.
La précision a été faite par le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Elimane Kane.
M. Kane participait au côté du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba, à la signature de quatre accords de financement entre l’Etat du Sénégal et la Banque mondiale, représentée par la directrice de ses opérations pour le Sénégal, Louise Cord.
Le corridor BRT entre Guédiawaye et Dakar porte sur la construction et l’exploitation d’une ligne de 18, 3 kilomètres, avec trois terminaux de passagers principaux et vingt stations supplémentaires, ‘’intégrant toutes les normes de fiabilité et de sécurité’’, a détaillé Amadou Ba.
Il a souligné que le BRT s’inscrit en droite ligne de la volonté du Président Macky Sall, d’améliorer la mobilité urbaine à Dakar. Le projet a déjà démarré avec sa phase étude.
‘’Sur le terrain, vous allez nous voir bientôt, avant même les élections, vous verrez les équipes sur le terrain. Le travail doit être fini d’ici deux ans’’, a promis le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan.
Selon son collègue Mansour Elimane Kane, le BRT générera cinq mille emplois, avec une priorité pour les femmes.
Pour lui, ce système de transport de masse ‘’apporte une réponse structurelle au phénomène de congestion’’ dans l’agglomération de Dakar, du Nord au Sud, à côté du Train express régional (TER), qui dessert la partie Sud-Est de la capitale sénégalaise.
‘’Ce système complémentaire va permettre une connexion optimale et une inter-mobilité autour d’un réseau de transport métropolitain restructuré, avec des infrastructures et des services prioritaires de rabattements par bus’’, vante le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
Le BRT sera ‘’un exemple en Afrique’’, prédit Mansour Elimane Kane et ‘’un miroir en tant que projet structurant’’.
Selon les estimations, plus de 300.000 Sénégalaises et Sénégalais emprunteront le BRT, ‘’un transport moderne, confortable, fiable, abordable et réduisant de moitié le temps de trajet’’. Il vise à favoriser l’utilisation des transports collectifs et à diminuer la pollution environnementale, entre autres objectifs.
Pour la directrice des opérations de la Banque mondiale, Louise Cord, il est le seul projet de transport identifié comme contribution volontaire du Sénégal, pour réduire les gaz à effet de serre dans l’accord de Paris sur le climat. ‘’Je voudrais féliciter le gouvernement pour cette initiative’’, a-t-elle lancé.
Il est attendu la contribution d’autres bailleurs à ce projet de BRT, notamment la Banque européenne d’investissement et le Fonds vert climat pour un montant de trente-huit milliards de FCFA.
L’appui de la Banque mondiale, ‘’une contribution décisive’’ d’environ 184 milliards 258 millions de francs CFA, couvre la ‘’quasi-intégralité’’ du financement des infrastructures du BRT.
L’opérateur international qui sera choisi pour l’exploitation, va assurer le financement de l’acquisition du matériel pour un montant estimé à 33 milliards de francs Cfa.
Selon Amadou Ba, l’appel d’offre est déjà lancé. ‘’Une part importante sera réservée aux privés sénégalais dans cette phase’’, assure le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Elimane Kane. L’investissement global du BRT sera porté à 247 milliards de FCFA.
La précision a été faite par le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Elimane Kane.
M. Kane participait au côté du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba, à la signature de quatre accords de financement entre l’Etat du Sénégal et la Banque mondiale, représentée par la directrice de ses opérations pour le Sénégal, Louise Cord.
Le corridor BRT entre Guédiawaye et Dakar porte sur la construction et l’exploitation d’une ligne de 18, 3 kilomètres, avec trois terminaux de passagers principaux et vingt stations supplémentaires, ‘’intégrant toutes les normes de fiabilité et de sécurité’’, a détaillé Amadou Ba.
Il a souligné que le BRT s’inscrit en droite ligne de la volonté du Président Macky Sall, d’améliorer la mobilité urbaine à Dakar. Le projet a déjà démarré avec sa phase étude.
‘’Sur le terrain, vous allez nous voir bientôt, avant même les élections, vous verrez les équipes sur le terrain. Le travail doit être fini d’ici deux ans’’, a promis le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan.
Selon son collègue Mansour Elimane Kane, le BRT générera cinq mille emplois, avec une priorité pour les femmes.
Pour lui, ce système de transport de masse ‘’apporte une réponse structurelle au phénomène de congestion’’ dans l’agglomération de Dakar, du Nord au Sud, à côté du Train express régional (TER), qui dessert la partie Sud-Est de la capitale sénégalaise.
‘’Ce système complémentaire va permettre une connexion optimale et une inter-mobilité autour d’un réseau de transport métropolitain restructuré, avec des infrastructures et des services prioritaires de rabattements par bus’’, vante le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
Le BRT sera ‘’un exemple en Afrique’’, prédit Mansour Elimane Kane et ‘’un miroir en tant que projet structurant’’.
Selon les estimations, plus de 300.000 Sénégalaises et Sénégalais emprunteront le BRT, ‘’un transport moderne, confortable, fiable, abordable et réduisant de moitié le temps de trajet’’. Il vise à favoriser l’utilisation des transports collectifs et à diminuer la pollution environnementale, entre autres objectifs.
Pour la directrice des opérations de la Banque mondiale, Louise Cord, il est le seul projet de transport identifié comme contribution volontaire du Sénégal, pour réduire les gaz à effet de serre dans l’accord de Paris sur le climat. ‘’Je voudrais féliciter le gouvernement pour cette initiative’’, a-t-elle lancé.
Il est attendu la contribution d’autres bailleurs à ce projet de BRT, notamment la Banque européenne d’investissement et le Fonds vert climat pour un montant de trente-huit milliards de FCFA.
L’appui de la Banque mondiale, ‘’une contribution décisive’’ d’environ 184 milliards 258 millions de francs CFA, couvre la ‘’quasi-intégralité’’ du financement des infrastructures du BRT.
L’opérateur international qui sera choisi pour l’exploitation, va assurer le financement de l’acquisition du matériel pour un montant estimé à 33 milliards de francs Cfa.
Selon Amadou Ba, l’appel d’offre est déjà lancé. ‘’Une part importante sera réservée aux privés sénégalais dans cette phase’’, assure le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Elimane Kane. L’investissement global du BRT sera porté à 247 milliards de FCFA.