« Il est urgent que l’Etat, qui a pour sacerdoce de veiller à l’union des cœurs et des esprits ainsi que sur l’unité des religions dans leur diversité, prenne la responsabilité de mettre un terme à cette cacophonie qui n’honore pas le monde musulman », a-t-il déclaré.
A ce titre, il a proposé la mise sur pied de comités communaux contrôlés par le ministère de l’Intérieur, qui décidera de la date du démarrage du Ramadan ou de la célébration des fêtes par arrêté.
« Ces derniers seraient dirigés par le sous-préfet de la localité et auraient comme membres, l’ensemble des représentants des dignitaires religieux locaux, les imams et les maîtres coraniques », a ajouté Adama Faye. Qui souligne que lesdits comités auront en charge de statuer sur le croissant lunaire et de donner les résultats au Gouverneur, qui les transmettra à son tour au ministre de l’Intérieur, qui prendra officiellement, un arrêté pour fixer le démarrage du Ramadan, sa fin ou le jour de la Tabaski au Sénégal.
Pour rappel, après le rappel à Dieu de Mourchid Iyane Thiam, une vive polémique était née, liée notamment au renouvellement des instances de la Conacoc. Ce, avant qu’un consensus ne soit trouvé, par la mise sur pied d’un comité transitoire.
A ce titre, il a proposé la mise sur pied de comités communaux contrôlés par le ministère de l’Intérieur, qui décidera de la date du démarrage du Ramadan ou de la célébration des fêtes par arrêté.
« Ces derniers seraient dirigés par le sous-préfet de la localité et auraient comme membres, l’ensemble des représentants des dignitaires religieux locaux, les imams et les maîtres coraniques », a ajouté Adama Faye. Qui souligne que lesdits comités auront en charge de statuer sur le croissant lunaire et de donner les résultats au Gouverneur, qui les transmettra à son tour au ministre de l’Intérieur, qui prendra officiellement, un arrêté pour fixer le démarrage du Ramadan, sa fin ou le jour de la Tabaski au Sénégal.
Pour rappel, après le rappel à Dieu de Mourchid Iyane Thiam, une vive polémique était née, liée notamment au renouvellement des instances de la Conacoc. Ce, avant qu’un consensus ne soit trouvé, par la mise sur pied d’un comité transitoire.
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