Le responsable de l’Apr de la zone 5 de Djeddah Thiariye Kao, Samba Alassane Ndongo, a ameuté, hier, la presse pour déplorer le « cambriolage » de son siège baptisé Ndiaga Thiam.
Mais avant que le sieur Ndongo ne se prête aux questions des journalistes, il y a eu du folklore, de l’ambiance et l’animation musicale devant ledit siège, qui aurait été visité nuitamment par un voire plusieurs malfaiteurs. Ce qui est une curieuse manière d’exprimer son indignation et son amertume par rapport à un « vol avec effraction », dont quelqu’un serait victime dans sa permanence et perdu du coup toutes ses données politiques et son programme d’activités de campagne pour son candidat présidentiel Macky.
Face à la presse, Samba Alassane Ndongo vitrifie le « cambriolage » de la permanence et affirme avoir été informé de l’affaire, tôt le matin du mardi 12 décembre dernier. « A notre arrivée, nous avons constaté la disparition d’une partie du matériel de bureau installé dans le siège. Il s’agit en effet quatre ordinateurs, un écran plat de poste téléviseur et des clés », a laissé entendre le responsable de la zone 5 de l’Apr. Et d’enchaîner en soupçonnant un « cambriolage » crapuleux aux relents politiques.
Les Echos
Mais avant que le sieur Ndongo ne se prête aux questions des journalistes, il y a eu du folklore, de l’ambiance et l’animation musicale devant ledit siège, qui aurait été visité nuitamment par un voire plusieurs malfaiteurs. Ce qui est une curieuse manière d’exprimer son indignation et son amertume par rapport à un « vol avec effraction », dont quelqu’un serait victime dans sa permanence et perdu du coup toutes ses données politiques et son programme d’activités de campagne pour son candidat présidentiel Macky.
Face à la presse, Samba Alassane Ndongo vitrifie le « cambriolage » de la permanence et affirme avoir été informé de l’affaire, tôt le matin du mardi 12 décembre dernier. « A notre arrivée, nous avons constaté la disparition d’une partie du matériel de bureau installé dans le siège. Il s’agit en effet quatre ordinateurs, un écran plat de poste téléviseur et des clés », a laissé entendre le responsable de la zone 5 de l’Apr. Et d’enchaîner en soupçonnant un « cambriolage » crapuleux aux relents politiques.
Les Echos