Le PS est toujours en reconstruction, bien que sorti victorieux des élections locales, sous la bannière de Benno.
Mais ce brillant résultat est-il si suffisant pour dire que le Ps a retrouvé toutes ses marques ? Ce n’est pas parce que le peuple veut encore un nouveau changement, qu’il va s’aventurer à choisir un parti en pleine refondation. Et tant que ce même peuple n’aura pas vu un autre PS, drapé dans une idéologie fraîchement puisée de sa nouvelle élite, il jugera très précoce, l’idée de le faire revenir de sitôt aux affaires.
Pourquoi donc ont-ils voulu le jeter dans la marre aux crocodiles ? Et au profit de qui ce piège a-t-il été monté ?
Tanor était déjà bien dans ses habits de Président de l’Assemblé Nationale, avec à ses côtés, un Premier Ministre PS qui marcherait sous le contrôle de sa propre majorité parlementaire. Dès lors nous aurions eu un Président de la République qui ne serait niché au Palais, que pour le prestige et son statut de Gardien de la constitution. Mais hélas, à trop calculer, il se perd dans ces inconnues aux profits de ceux qui ont l’intention de l’amener dans moins de 5 mois à la retraite définitive. Qui sont ces gens tapis dans l’ombre ? Préparent-ils déjà la Présidentielle de 2017 ?
Pourquoi Ousmane Tanor a-t-il fait demi tour sur la route au dernier virage? et au détriment d’une union forte ; capable de créer d’énormes difficultés au PDS en pleine déchirure ? A le voir parler, on ne le reconnait plus dans ces nouveaux habits de contestataire ; le Tanor calme, qui n’avait pas d’écart de langage et qui maitrisait son discours, a vu son rêve se briser comme une vitre “teintée” devant lui et dont les tessons sont restés incrustés dans son corps, le bousculant pour qu’il s’éclipse tout en empruntant la petite porte .
Il y croit certes ; et croit aussi en ses chances de battre tous les candidats dès le 1er tour,ou encore après un second tour très alléchant car lui même pense que la machine du parti est devenue très rodée depuis 2010, mais c’est sans compter avec l’actuel maître du jeu ; le Maestro Abdoulaye Wade, qui depuis le palais bât campagne pour demeurer celui qui conduira à terme ce changement qu’aspirent les populations. L’homme du congrès sans “débat” est devenu inéluctablement le candidat d’un PS, devenu “marginal” et qui peut faire très mal aux futures élections sous ses allures de lion blessé et affamé.
La rédaction
Source : assirou.net
Mais ce brillant résultat est-il si suffisant pour dire que le Ps a retrouvé toutes ses marques ? Ce n’est pas parce que le peuple veut encore un nouveau changement, qu’il va s’aventurer à choisir un parti en pleine refondation. Et tant que ce même peuple n’aura pas vu un autre PS, drapé dans une idéologie fraîchement puisée de sa nouvelle élite, il jugera très précoce, l’idée de le faire revenir de sitôt aux affaires.
Pourquoi donc ont-ils voulu le jeter dans la marre aux crocodiles ? Et au profit de qui ce piège a-t-il été monté ?
Tanor était déjà bien dans ses habits de Président de l’Assemblé Nationale, avec à ses côtés, un Premier Ministre PS qui marcherait sous le contrôle de sa propre majorité parlementaire. Dès lors nous aurions eu un Président de la République qui ne serait niché au Palais, que pour le prestige et son statut de Gardien de la constitution. Mais hélas, à trop calculer, il se perd dans ces inconnues aux profits de ceux qui ont l’intention de l’amener dans moins de 5 mois à la retraite définitive. Qui sont ces gens tapis dans l’ombre ? Préparent-ils déjà la Présidentielle de 2017 ?
Pourquoi Ousmane Tanor a-t-il fait demi tour sur la route au dernier virage? et au détriment d’une union forte ; capable de créer d’énormes difficultés au PDS en pleine déchirure ? A le voir parler, on ne le reconnait plus dans ces nouveaux habits de contestataire ; le Tanor calme, qui n’avait pas d’écart de langage et qui maitrisait son discours, a vu son rêve se briser comme une vitre “teintée” devant lui et dont les tessons sont restés incrustés dans son corps, le bousculant pour qu’il s’éclipse tout en empruntant la petite porte .
Il y croit certes ; et croit aussi en ses chances de battre tous les candidats dès le 1er tour,ou encore après un second tour très alléchant car lui même pense que la machine du parti est devenue très rodée depuis 2010, mais c’est sans compter avec l’actuel maître du jeu ; le Maestro Abdoulaye Wade, qui depuis le palais bât campagne pour demeurer celui qui conduira à terme ce changement qu’aspirent les populations. L’homme du congrès sans “débat” est devenu inéluctablement le candidat d’un PS, devenu “marginal” et qui peut faire très mal aux futures élections sous ses allures de lion blessé et affamé.
La rédaction
Source : assirou.net
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