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Confessions d’un homme incestueux : « mon histoire avec ma mère … »

Rédigé par leral.net le Vendredi 6 Septembre 2013 à 13:00 commentaire(s)|

« Bonjour,
Je suis fils unique et lorsque j’avais à peu près 12 ans, mon père est parti, laisser ma mère seule avec moi. On s’est retrouvé seuls tous les deux, notre vie devenait plus compliquée car ma mère ne gagnait qu’un petit salaire et on a du mal à boucler les fins de mois. Pour ma part, je devais me débrouiller seul pour aller à l’école, faire un peu de ménage à la maison et faire à manger le soir car ma mère rentrait souvent très tard. Elle était toujours très triste, et elle pleurait souvent le soir. Quand je la voyais pleurer, je venais la prendre dans mes bars et on se faisait des petits câlins pour se réconforter … rien de mal jusque là. Puis, les câlins le soir sont devenus de plus en plus fréquent, même quand elle ne pleurait pas …


Confessions d’un homme incestueux : « mon histoire avec ma mère … »
Un soir, en rentrant du travail, ma mère se plaignait d’avoir mal à la poitrine et elle disait qu’elle a du mal à respirer. Elle me demandait de passer du baume sur la poitrine pour l’aider à soulager la douleur. Ce que j’ai fait. Je mettais cette pommade dans la paume de ma main puis je commençais à frotter sur sa poitrine, sur ses seins donc. Dans une sensation étrange, j’ai senti ses bouts de seins se durcis. Je regardais ma mère pour essayer de trouver une réaction chez elle, mais elle fermait les yeux et ne manifestait aucune réaction. Au bout de quelques minutes, je suppose qu’elle se sentait mieux, alors j’ai arrêté la séance de massage pour retourner à mes occupations.
Ces séances de massage se renouvellent par la suite très fréquemment. Lorsqu’elle rentrait tard le soir, ma mère me demande de la masser la poitrine, le dos et le bas du dos. Elle enlevait le haut pendant le massage. J’avais douze, treize ans à cette époque, et j’éprouve une sensation à la fois gênée mais mélangée avec un certain plaisir. C’est étrange car à certain moment, je ne vois plus la personne sur laquelle je passe ma main comme ma maman, mais comme une femme quelconque. C’est dans ces moments que j’éprouve un réel plaisir de faire ces gestes : je suis en train de caresser une femme tout simplement. Je pense que ce plaisir est réciproque car elle manifestait de temps en temps quelques gémissements pour me faire comprendre que cela la faisait du bien.
Tant que nous restions dans cette limite, cela ne nous posait pas plus de problème que ça. Ces séances de massage, c’étaient un petit jeu qui nous faisait du bien, surtout à ma mère qui commence à retrouver la joie de vivre. Cette situation a duré jusqu’à mes 16 ans et demi sans trop de souci particulier.
A quelques jours de mes 17 ans, un soir, à peine passée la porte de la maison, ma mère m’annonçait qu’elle venait de perdre son travail. Elle me disait qu’elle était très inquiète pour notre avenir et elle tombait dans mes bras en pleurant. Voyant qu’elle l’était complètement épuisée, je l’amène dans sa chambre pour qu’elle se repose. Je voulais la laisser se reposer mais elle me demandait de rester un peu avec elle. Je suis resté et on commence à se faire des petits câlins comme on le faisait souvent. Mais ce soir là va marquer ma vie à jamais puisque ma mère a décidé d’aller plus loin. Les « câlins » ne s’arrêtaient plus aux visages et aux mains comme on le faisait avant mais ses mains allaient dans les endroits beaucoup plus intimes de mon corps. Ne voulant pas la contrarier, je me suis laissé faire et me suis pris rapidement au jeu. A mon tour, moi aussi je lui donnais des caresses dans les endroits qui sont normalement interdits entre une mère et un fils. Mais ce soir là, rien ni personne n’était là pour nous rappeler à l’ordre, donc ce qui devait arriver est arrivé.
Je ne sais pas combien de temps nous étions dans ces caresses intenses, tout ce que je me rappelle c’est qu’un moment nous nous sommes retrouvés nus tous les deux. Nous étions à ce moment là simplement un homme et une femme dans le feu de l’action sans aucune retenue, à la recherche du plaisir. Je n’avais aucune expérience, je n’ai connu encore aucune fille avec qui je pouvais aller jusqu’à cette limite. Evidemment j’étais parfaitement maladroit dans l’action et j’avais du mal à « m’en sortir ». Alors que j’essayais désespérément mais je n’y arrivais pas, ma mère décidait de prendre les choses en main pour m’aidait à rentrer en elle …
Pour la première fois de la vie d’un jeune homme, je faisais l’amour. Le plaisir immense qui me procurait à ce moment là m’a fait complètement oublier que la femme qui s’allongeait en dessous de moi était ma propre mère et je suis en train de faire l’amour avec elle. Comme tous les jeunes hommes qui font ça pour la première fois, je n’ai pas pu faire durer le plaisir et j’étais sur le point de terminer l’acte. A ce moment précis, je pense que ma mère revenait peu à peu à elle, car une fraction de seconde avant que je prenais mon dernier plaisir, elle m’a poussé violemment hors d’elle pour que ce qui sortait de moi ne soit pas en elle. Elle m’a demandé calmement en suite de sortir de sa chambre avant de se retourner face au mur, en position du fœtus. En sortant de la chambre, je me retournais pour regarder son corps nu, de dos, en me demandant ce qui m’arrive.
Cet événement a changé notre relation pour toujours. Nous avons arrêté net toutes les séances de câlins et nous n’avons plus jamais reparlé de cette fameuse soirée. C’était l’unique fois que nous avons franchi l’interdit. Par la suite, nous essayions de maintenir un rapport mère fils le plus normal possible dans l’année qui suit, puis je suis parti de la maison à mes 18 ans. Ma mère est décédée depuis, amenée avec elle une partie de notre secret.
Bizarrement, vous me le croyez ou pas, mais je ne suis pas plus traumatisé que ça de cette expérience. Je trouvais cette expérience plutôt plaisante et depuis cette nuit, lorsque nous avons décidé d’arrêter tous les comportements déviants, nous avions retrouvé la place de chacun. Aujourd’hui, j’ai une vie de famille tout à fait normale et lorsque ça m’arrive de penser à ma mère, c’est toujours avec un immense respect et amour, comme tous les fils peuvent penser à une mère. »