C’est maintenant de violentes disputes et il arrive qu’il me tabasse sauvagement. Dans ce cas, je m’enfouillais de la maison pour rejoindre mes parents. Ces derniers me ramener toujours soit disant que nous étions des jeunes et que c’était normal. La première fois j’ai fait la tête à mon mari quelques temps avant de lui demander pardon. Parfois, ce sont avec des blagues ou des pitreries qu’il parvenait à m’arracher un sourire.
La première fois juste après, on a fait l’amour et ça lui plaisait. Je prenais mon pied aussi parce qu’il devient plus viril. La paix n’a duré que le temps d’une rose avant qu’une autre dispute plus violente ne survienne. Cette fois-là, m’a laissé des blessures encore plus graves. Mon dos et mes cuisses étaient lacérés par le fil avec lequel il me frappait. J’ai toujours des cicatrices sur le corps. C’est seulement quand j’ai perdu mes esprits qu’il a daigné arrêter. Comme pris de remords, il s’est jeté sur moi me priant de le pardonner. Il me dégoutait. Je ne voulais pas qu’il me touche. Nous avons ainsi fait l’amour, encore à même le sol. Le lendemain, personne ne comprenait et nous prenait pour fou. C’était comme si rien ne s’est passé.
J’ai porté les stigmates de la veille longtemps durant. Quand ma mère a su, elle était folle de rage. J’ai compris par la suite, qu’il ne me battait pas parce qu’il y a un problème mais qu’il prenait son pied ainsi. Même sans dispute, il est très violent au lit. Ça ne me plaisait pas au début mais j’ai fini par m’habituer à son vice. Il m’a avoué que ça l’excitait de me battre ainsi avant l’amour. Je lui ai fait comprendre qu’il pourrait commettre l’irréparable un jour. "