Cette découverte pour le moins révoltante, a été faite suite à une longue et minutieuse enquête menée par la femme cocue. En réalité, elle a appris par son entourage, cette relation amoureuse abjecte entre sa mère et son homme. Revenons-en aux faits. Des renseignements reçus, il ressort que dame Ninsémon est approchée par des tiers, qui lui révèlent la relation amoureuse entre sa génitrice et son homme. Difficile pour elle de le croire. En pareilles circonstances, c’est mieux d’avoir des éléments d’appréciation, au lieu de se fier à ce qui se dit. Alors, elle monte un stratagème. Un soir, elle explique à son mari qu’elle voudrait bien bénéficier d’une permission pour se rendre dès le lendemain, dans le village voisin de Bakoubly. Village où elle dit avoir des courses importantes à effectuer, avant de préciser qu’elle ne rentrera que le lendemain. Permission qui lui est sans hésitation, accordée par son mari. Le dimanche 5 avril, aux environs de 17h, la dame prend son baluchon et c’est le départ. Mais une fois à la sortie du village, obéissant à son plan, elle prend donc la direction du domicile de sa meilleure amie. Ce sont les deux qui ont monté la stratégie. Après s’être planquée chez son amie, dame Ninsémon retourne peu après 22h, à son domicile. A pas feutrés, elle avance et colle son oreille contre la porte. Des gémissements de plaisir lui parviennent. Ne pouvant plus se retenir, elle ouvre brusquement la porte. Elle surprend sa mère et son mari dans le lit conjugal. Son homme, dans une terrible chevauchée, fait la démonstration de ses connaissances sexuelles, sur sa belle-mère totalement offerte à lui. L’indigne génitrice, avec ses râles, semble voltiger dans le 7ème ciel. Devant la terrible scène, la femme cocue pousse un strident cri. Coupant l’appétit aux deux amants, obligés d’abréger, leurs ébats. Toute honte bue, Franck se jette sur sa femme et se met à la battre. Pendant ce temps, la mère qui ne mérite plus vraiment d’être appelée ainsi, s’emploie à couvrir sa nudité étalée. Plus tard traduit par sa femme devant la chefferie traditionnelle du village, G. Franck, l’immoral mari, passe aux aveux. Une amende lui est infligée. Amende constituée de 2 moutons, de 2 poulets noirs, de 3 bouteilles de liqueur et d’une somme de 50.000 Fcfa. Quant à la mère indigne, elle a tout simplement pris la fuite pour trouver refuge hors du village.
Source : soirinfo.com
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