Le septuagénaire Aliou Guindo Sarr est traîné en justice par une fille de 16 ans, qui l’accuse de viol suivi de grossesse, pédophilie et détournement de mineure. Agé de 75 ans, le prévenu nie la paternité de l’enfant et demande un test d’Adn pour se blanchir.
Depuis l’enquête préliminaire, il clame son innocence. Dans les liens de détention depuis quelques mois, il a fait face hier au juge des flagrants délits de Dakar. Mais l’affaire n’a pas été débattue dans le fond, car le prévenu insiste sur la nécessité de faire un test d’Adn pour prouver son innocence. Il soutient que deux éléments peuvent le blanchir à savoir les tests d’Adn et virologiques. A l’en croire, il souffre d’impuissance sexuelle depuis 2017 et par conséquent, il ne peut même pas violer une mouche.
Il s’engage à payer de sa poche les 350.000 FCfa pour les tests . Il demande une liberté provisoire pour les besoins des tests d’Adn. Quant à la victime M. D., elle a révélé au tribunal avoir accouché d’un petit garçon qu’elle a baptisé du nom Bassirou Sarr. Le tribunal a accédé à la demande du mis en cause, Aliou Guindo Sarr et lui a donné l’opportunité de réaliser les tests d’Adn comme il le souhaite. Il lui est accordé un délai de 15 jours pour les besoins de cette expertise médicale. L’audience est renvoyée au 18 août prochain.
L'As
Depuis l’enquête préliminaire, il clame son innocence. Dans les liens de détention depuis quelques mois, il a fait face hier au juge des flagrants délits de Dakar. Mais l’affaire n’a pas été débattue dans le fond, car le prévenu insiste sur la nécessité de faire un test d’Adn pour prouver son innocence. Il soutient que deux éléments peuvent le blanchir à savoir les tests d’Adn et virologiques. A l’en croire, il souffre d’impuissance sexuelle depuis 2017 et par conséquent, il ne peut même pas violer une mouche.
Il s’engage à payer de sa poche les 350.000 FCfa pour les tests . Il demande une liberté provisoire pour les besoins des tests d’Adn. Quant à la victime M. D., elle a révélé au tribunal avoir accouché d’un petit garçon qu’elle a baptisé du nom Bassirou Sarr. Le tribunal a accédé à la demande du mis en cause, Aliou Guindo Sarr et lui a donné l’opportunité de réaliser les tests d’Adn comme il le souhaite. Il lui est accordé un délai de 15 jours pour les besoins de cette expertise médicale. L’audience est renvoyée au 18 août prochain.
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