C’est le premier vin produit dans le pays, un projet qui a débuté en 2013. Jusqu’ici, seul le Cap-Vert produisait du vin en Afrique de l’Ouest, sur l’île volcanique de Fogo. La production reste limitée, pour l’heure, avec moins de 1000 bouteilles par an, selon Rfi, repris par « L’As ». Les quelques hectares de vignes du Clos des Baobabs sont situés à Nguékokh.
«C’est vrai que le rendement est faible, ici, pour deux raisons : c’est que le climat est là… On va dire que c’est un vin du Sahel. Et puis, nous avons aussi des mortalités assez élevées par les termites», a confié Philippe Franchois.
Produire du vin dans un pays à 95% musulman, cela n’est pas paradoxal, assure-t-il. A l’en croire, cela fait partie de la diversité, notamment du Sénégal et le meilleur exemple à contrario, c’est le Maroc qui est un grand pays viticole émergent et qui est aussi un grand royaume musulman.
Selon ces producteurs, ce vin est réservé à une clientèle aisée parce que la bouteille est vendue 24 000 FCfa.
«C’est vrai que le rendement est faible, ici, pour deux raisons : c’est que le climat est là… On va dire que c’est un vin du Sahel. Et puis, nous avons aussi des mortalités assez élevées par les termites», a confié Philippe Franchois.
Produire du vin dans un pays à 95% musulman, cela n’est pas paradoxal, assure-t-il. A l’en croire, cela fait partie de la diversité, notamment du Sénégal et le meilleur exemple à contrario, c’est le Maroc qui est un grand pays viticole émergent et qui est aussi un grand royaume musulman.
Selon ces producteurs, ce vin est réservé à une clientèle aisée parce que la bouteille est vendue 24 000 FCfa.