leral.net | S'informer en temps réel

Des injections de silicone dans les fesses paralysent un mannequin


Rédigé par leral.net le Samedi 17 Novembre 2018 à 14:16 | | 0 commentaire(s)|

Desiree Davis c’est le mannequin qui a été paralysée par les injections illégales de silicone dans les fesses. Répondant au pseudonyme @officialsmileyasian sur  Instagram, la jeune femme a récemment déclaré ne plus pouvoir marcher après avoir subi des injections illégales dans les fesses. Le silicone injecté a en effet pénétré dans d’autres parties de son corps.

C’est en 2010 que Desiree Davis a reçu ces injections de silicone destinées à modifier l’apparence de ses fesses. Mais lesdites injections réalisées dans un cadre illégal, auraient eu des conséquences désastreuses.

La situation de Desiree Davis reste toujours critique. Après son opération illégale, le silicone aurait pénétré dans d’autres parties de son corps, comme son dos. Cette situation empêcherait la jeune mère de deux enfants de pouvoir se déplacer.

Des injections de silicone dans les fesses paralysent un mannequin

On pourrait même dire dans une certaine mesure que Desiree Davis a échappé de justesse au pire. La même dame qui lui a administré ces injections, Denise Ross, est condamnée aujourd’hui à une peine de 60 ans de prison pour avoir causé la mort d’une autre femme par un procédé similaire.

Denise Ross , condamnée à 60 ans de prison pour la mort de Wykesha Reid en 2015Des injections de silicone dans les fesses paralysent un mannequin

 D’après le diagnostic d’un autre médecin, Desiree Davis souffrirait d’un abcès dans le dos qui pourrait à long terme menacer sa survie. Cette situation découlerait d’une opération à des fins esthétiques. Dès lors, elle ne peut pas être remboursée par son assurance. Au regard de cette situation, la jeune femme a décidé de lancer un financement participatif où elle explique avoir besoin de 10 000 dollars US pour ‘sauver sa vie’. Elle a aussi profité de cette occasion pour inviter toutes les femmes à aimer leur corps, quelle que soit l’apparence.

Crédit photo: libération


la rédaction