Le juriste a relevé sur les ondes de la Sud Fm, la nécessité de "revoir la politique criminelle en insérant dans le Code de procédure pénale, d'autres formes de sanctions. Parce que la peine de mort n'est pas une réponse à la baisse de la criminalité. On peut recourir à la perpétuité, mais avec possibilité d'exclusion de libération conditionnelle, c'est-à-dire qu'il y ait plus de remise de peine.
On peut aussi la rendre beaucoup plus contraignante pour tout condamné à la perpétuité, notamment en faisant une restriction à leur droit de visite et celui de promenade ; les soumettre à un régime d'isolement de jour comme de nuit. Je pense que cela est une réponse plus adéquate".
On peut aussi la rendre beaucoup plus contraignante pour tout condamné à la perpétuité, notamment en faisant une restriction à leur droit de visite et celui de promenade ; les soumettre à un régime d'isolement de jour comme de nuit. Je pense que cela est une réponse plus adéquate".
Selon le Docteur en Science criminelle, "si on appliquait la peine de mort, n'oubliez pas qu'il peut y avoir tout le temps des erreurs judiciaires. Parce que la justice, c'est une question d'homme. Et l'erreur judiciaire, elle est humaine. Donc, il peut avoir des erreurs judiciaires. On peut trouver des formes alternatives de répression plus adéquates et plus appropriées"