Ainsi, selon nos sources, au moins quatre personnes sont présentement en garde-à-vue dans cette affaire. Il s’agit d’Henriette Sambou, accusée d’avoir poignardé la victime, mais également de sa mère et deux autres enseignants. La mère de la lycéenne est, selon nos sources, la tenancière du bar où se sont déroulés les faits. Il lui est reproché de n’avoir pas d’autorisation pour exercer une telle activité (débit de boisson alcoolisée).
BAR CLANDESTIN, NON ASSISTANCE À PERSONNE EN DANGER
Selon une source proche du dossier, le jour des faits, le défunt et deux de ses amis, tous enseignants, étaient venus prendre un verre au bar clandestin du coin, géré par la mère de la présumée.
Après avoir levé le coude, Henry Ndiaye aurait commencé à faire des attouchements à la jeune demoiselle Henriette Sambou, qui l’avait mise en garde, en lui disant qu’elle ne cautionnait pas de tels actes. Mais, selon nos sources, l’instituteur a continué son jeu jusqu’à ce que la lycéenne, finalement excédée, lui assène un coup de couteau sur la cuisse. « La plaie est profonde. Cela a touché une veine principale », a expliqué notre source. Qui renseigne que face aux enquêteurs, la jeune fille a fait savoir qu’elle n’avait pas l’intention de le tuer. « Je ne voulais pas le blesser. Je voulais juste le dissuader pour qu’il me laisse en paix », a confié la fille aux enquêteurs avant de regretter son acte.
Par ailleurs, si l’enseignant est passé de vie à trépas, il semble, selon les premiers éléments de l’enquête, que c’est parce qu’il n’a pas été sauvé par les autres personnes qui étaient dans le bar au moment des faits. « Lorsqu’il a été blessé, les gens qui étaient là, n’ont pas bougé. A défaut de le sauver, ils devaient au moins appeler les éléments de secours. Mais ils n’ont rien fait de tout cela, alors que le district sanitaire n’est pas loin. Il a été abandonné par terre gisant dans son sang », a expliqué notre source.
emedia.sn
BAR CLANDESTIN, NON ASSISTANCE À PERSONNE EN DANGER
Selon une source proche du dossier, le jour des faits, le défunt et deux de ses amis, tous enseignants, étaient venus prendre un verre au bar clandestin du coin, géré par la mère de la présumée.
Après avoir levé le coude, Henry Ndiaye aurait commencé à faire des attouchements à la jeune demoiselle Henriette Sambou, qui l’avait mise en garde, en lui disant qu’elle ne cautionnait pas de tels actes. Mais, selon nos sources, l’instituteur a continué son jeu jusqu’à ce que la lycéenne, finalement excédée, lui assène un coup de couteau sur la cuisse. « La plaie est profonde. Cela a touché une veine principale », a expliqué notre source. Qui renseigne que face aux enquêteurs, la jeune fille a fait savoir qu’elle n’avait pas l’intention de le tuer. « Je ne voulais pas le blesser. Je voulais juste le dissuader pour qu’il me laisse en paix », a confié la fille aux enquêteurs avant de regretter son acte.
Par ailleurs, si l’enseignant est passé de vie à trépas, il semble, selon les premiers éléments de l’enquête, que c’est parce qu’il n’a pas été sauvé par les autres personnes qui étaient dans le bar au moment des faits. « Lorsqu’il a été blessé, les gens qui étaient là, n’ont pas bougé. A défaut de le sauver, ils devaient au moins appeler les éléments de secours. Mais ils n’ont rien fait de tout cela, alors que le district sanitaire n’est pas loin. Il a été abandonné par terre gisant dans son sang », a expliqué notre source.
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