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Education nationale : Ibrahima Sall sur les traces de Kalidou Diallo

La trêve observée, ces derniers temps, par les enseignants qui réclamaient le relèvement substantiel de leur traitement salarial, risque de n’être qu’une cendre recouverte d’un feu qui embrasera, dès la prochaine rentrée scolaire, les relations entre la tutelle et les syndicats d’enseignants.


Rédigé par leral.net le Mardi 26 Juin 2012 à 03:52 | | 6 commentaire(s)|

Education nationale : Ibrahima Sall sur les traces de Kalidou Diallo
La recette de la ponction salariale sera adoptée comme méthode, dès la prochaine rentrée scolaire, pour dissuader les enseignants de recourir à l’arme de la grève. Le ministre, Ibrahima Sall, qui l’a fait comprendre aux concernés, va brandir, à l’instar de son prédécesseur, Kalidou Diallo, le bâton contre les futurs perturbateurs de l’école, qui n’ont pas encore vu leurs doléances satisfaites.

Cette année, il a fallu l’implication de tous les acteurs qui gravitent autour de l’école pour que l’année ne soit pas décrétée blanche comme en 1988. L’école sénégalaise est sujette à des grèves cycliques qui impactent sur le niveau des élèves avec des évaluations qui ne respectent plus le quantum horaire exigé. Après plusieurs tentatives de négociations, qui se sont soldées par des échecs, l’ancien ministre de tutelle, Kalidou Diallo, avait brandi l’arme de la ponction sur les salaires pour obliger ses administrés à reprendre le chemin des classes. C’est dans ce contexte de bras de fer qu’interviendra le changement de régime qui a porté monsieur Ibrahima Sall à la tête du département.

Mais celui-ci, sans inventer sa solution à lui, a décidé de recourir à l’arme de la ponction, source d’une confrontation inévitable avec des syndicalistes qui trouvent leurs rémunérations déjà trop insuffisantes par rapport à leurs diplômes. A l’heure actuelle, il n’y a pas une autre voie pour faire face à des enseignants qui doivent assumer les conséquences de la cessation des cours. Ce sont encore les écoles privées qui vont bénéficier de la situation, en enregistrant la ruée des enseignants désireux de combler le manque-à-gagner

NDIOGOU CISSE lesenegalais.net


( Les News )


1.Posté par MOISE le 26/06/2012 04:00 | Alerter
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LES ROLES PERVERS JOUES PAR LES SYNDICATS D’ENSEIGNANTS LORS DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2012 :MAUVAIS CALCUL ET DUPERIE.
Durant les campagnes de l’élection présidentielle de 2012 au Senegal, beaucoup de sénégalais se posaient des questions sur l’opportunité des grèves des enseignants dans la mesure ou le moment n’était point favorable a des pourparlers de ce genre. Ils ont sacrifie les élèves dans le seul but de discréditer le president Abdoulaye Wade, augmentant ainsi les chances de Macky Sall.Ce n’est un secret que la majeure partie des enseignants d’aujourd’hui n’ont ni éthique, ni deontologie, sans compter leur faibles niveaux académiques et professionnels. Mais ici on note surtout leur demagogie, leur egoisme, leur faiblesse de personnalité pour tout dire. Comment ont-ils pu croire a des promesses qui peuvent dépasser ce que peut leur apporter Wade. Il faut être indulgent avec les jeunes enseignants qui ont commencé a exercer après 2000, car ne pouvant pas apprécier les bons apportes par l’ancien president dans l’amélioration des conditions des enseignants. ILS ont été endoctrines par les roublards qui ne sont que des politiciens sans vergogne. Le comble est que le deal qu’ils avaient établi avec ces nouveaux dirigeants va leur couter cher et vont regretter amèrement leur mauvaise foi. Ce nouveau régime acceptait tout pour avoir le pouvoir. L’exemple des denrées alimentaires est la. Vivement l’ouverture de l’année scolaire prochaine pour constater leur deception.Meme le S.A.ES., malheureusement, faisait partie de ce jeu.
On nourrissait beaucoup d’espoir avec l’événement du S.A.E.M.S.S/C.U.C.E.M.S mais tout est retombe dans la lethargie.Les syndicats cycle primaire ne voulant jamais la catégorisation des indemnités reclamees,font resurgir leurs caractères egoistes,incitant a la facilite ,au manque d’ambition, a la promotion de la qualité :comment peut-on donner une même indemnité de logement a tous les enseignants des cycles prescolaire,elementaire,moyen et secondaire ?A quoi bon alors chercher des diplômes universitaires pour retourner a l’enseignement ?
Reconnaissons a WADE d’avoir accompli des pas de géants dans l’amélioration des conditions materielles, morales et professionnelles mais, étant mal conseille et avec la pression des syndicats de bas etage, beaucoup de frustration sont apparues ensuite.
Ce qui est clair est qu’avec ce nouveau régime et surtout ce ministre qui ne sait que parler pour dire des conneries, le réveil sera brutal pour les enseignants. Apres les avoir utilises, il leur tourne le dos et est entrain d’initier des réseaux d’enseignants pour le soutenir. Les enseignants sont cancres comme les poissons qui mordent toujours à l’hameçon.
Malheureusement la société sénégalaise est sevrée : tous les ONG ou mouvements qui devraient la défendre ne sont mus que par des intérêts matériels, moraux ou sociaux. RADDHO, FORUM CIVIL, TRANSPARENCY, etc…n’existent plus que de nom.

2.Posté par ISSA le 26/06/2012 06:43 | Alerter
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3.Posté par miche le 26/06/2012 09:09 | Alerter
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j pense que l'année n'est pas jusqu'a present sauvée. jusque la ou je vous parle il y a le mot d'ordre du Saems qui est suivi "rétension de note de composition" et on npous parle d'exament avec quel livret?

4.Posté par jazz le 26/06/2012 09:23 | Alerter
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l'état réclame aux enseignants d'être dans les classes alors que l'état ne fait pas ses devoirs car jusqu'à présent les actes de reclassement et d'avancement tardent à sortir

5.Posté par Idrissa Ba le 26/06/2012 09:26 | Alerter
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Nous pensons que la confrontation n'a jamais pu résoudre les problèmes de l'éducation a causé d'énormes difficultés aux populations ( élèves, étudiants et parents). Nous avons constaté qu’après des mois de gréve, l'état est toujours revenu sur les tables de négociations pour accepter ce qu'il avait refusé au départ, les élèves ont été toujours les perdants. Nous pensons qu'il urge qu'avant les ouvertures prochaines que toutes les parties se retrouvent autour d'une table avec comme objectif terminal de trouver une solution au bonheur de nos enfants, l'état doit ce qui est réalisable à court terme, moyen et long terme, les syndicats doivent aussi voir la réalité et accepté les propositions et ne point y revenir de même que l'état. Un engagement ou un serment de 0 grève doit être fait et nous le peuple seront témoins. De grâce, épargnez nous de la situation que nous avons connue cette année. Par ailleurs, nous pensons aussi que le salaires se mérite car il est le fruit d'un travail bien rempli, si on reste tout un mois sans travailler et qu'à a la fin du mois, on se fait payer et on le consomme sans vergogne, ceci ne peut s'expliquer, toute profession rapporte profit à celui qui l'exerce salaire ou bénéfices, il en résulte que nous sommes payés par un particulier ou par l'état, c'est là un donc un principe de justice, quelque soit donc notre profession, remplissons la sans négligence, scrupuleusement en y apportant probités et patience c'est en ce moment seulement que nous avons droit à une rémunération; A la fin du mois, tout travailleur, après avoir perçu son salaire, doit se poser la question suivante, est ce que cet argent que je viens de percevoir est il le fruit de mes efforts consentis durant tout ce mois, si oui, je l'ai mérité, si vous doutez ne serait ce une minute, c'est parce que vous n'avez pas la conscience tranquille, vous vous culpabilisez donc cet argent n'est point le fruit d'efforts consentis durant ce mois. Si chacun de nous se pose cette question, notre conscience va nous obliger à mériter cette rémunération. L'état doit aussi se dire quand je prends des engagements, je dois les respecter pour être crédible et bénéficier de la confiance des citoyens, ne jamais m'engager sur ce dont je ne peux avoir la certitude de l'honorer.

6.Posté par bintou le 27/06/2012 19:20 | Alerter
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les problèmes de l'éducation sénégalaise sont loin d'ètre réglès .les enseignants sont acros de la politique et sont prets à tous pour satisfaire besoins :les uns pour avoir une bonne position au sein du gouvernement et les autres pour toujours faire réigner la corruption .nous en avoir marre d'entendre tout le temps des choidisant syndicats revendiquer ce qu'ils ne méritent pas .nous sommes dans classes et nous sommes déçu par ces professeurs qui ne connaissent rien et qui n'arrètent pas de nous imposer des enseignements unitiles .de l'élémentaire à l'université on ne nous apprend que la langue : comment parler comment se comporter etc.et à quant la spécialisation ? Et tant d'autres questions qui doivent étre mises sur la table .

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