Election au Kenya: Aminata Touré et l'ex-secrétaire d'Etat Américain John Kerry dirigent la mission électorale
L'ancien secrétaire d'Etat américain, John Kerry et l'ancien premier ministre du Sénégal, Aminata Touré dirigeront conjointement la mission d'observation électorale du Centre Carter au Kenya. D'après le communiqué reçu à Enquête, la mission déploiera plus de 50 observateurs à travers le pays le jour des élections. La même source renseigne que le Centre Carter a déployé une équipe cadre et des observateurs de longue durée au Kenya depuis le mois d'avril.
Par contre, M. Kerry, Mme Touré et l'équipe de direction du Centre Carter arriveront dans les jours précédant les élections pour rencontrer les principaux acteurs y compris les candidats des partis politiques, les organisations de la société civile, les hauts fonctionnaires du gouvernement, les citoyens observateurs et d'autres missions internationales d'observation électorale, avant d'observer le scrutin et le dépouillement le 8 août prochain.
L'ex-PM sénégalais s'est réjoui du choix porté sur sa personne et se dit optimiste par rapport aux échéances futures. "J'espère que l'élection sera paisible et qu'elle arrivera à refléter l'esprit démocratique qui perdure au Kenya", dit-elle, avant de lancer un message. "Je me joins au secrétaire Kerry pour encourager toutes les parties prenantes à agir de manière responsable et de demander à leurs sympathisants de faire de même. Je crois que la démocratie kényane pourrait émerger de cette élection plus forte que jamais et qu'elle pourrait servir d'inspiration au reste du continent".
Quant à son codirigeant, il a embouché la même trompette. " Le Kenya a parcouru un long chemin depuis les élections de 2007. C'est maintenant la responsabilité des autorités de chaque camp d'assurer que la violence qui a eu lieu avant ces élections ne se répète pas.
Ceux d'entre nous qui surveilleront les élections sur le terrain, auront aussi une responsabilité vis-à-vis des citoyens pour que chacun soit confiant, que le processus se déroule de manière juste et honnête", a lancé John Kerry. Et de poursuivre : " j'engage tout parti politique et tout candidat à soutenir un processus électoral qui est juste, crédible, ordonné et non violent, à respecter le code de conduite électoral et à rester fidèle au peuple kényan."
Enquête
Par contre, M. Kerry, Mme Touré et l'équipe de direction du Centre Carter arriveront dans les jours précédant les élections pour rencontrer les principaux acteurs y compris les candidats des partis politiques, les organisations de la société civile, les hauts fonctionnaires du gouvernement, les citoyens observateurs et d'autres missions internationales d'observation électorale, avant d'observer le scrutin et le dépouillement le 8 août prochain.
L'ex-PM sénégalais s'est réjoui du choix porté sur sa personne et se dit optimiste par rapport aux échéances futures. "J'espère que l'élection sera paisible et qu'elle arrivera à refléter l'esprit démocratique qui perdure au Kenya", dit-elle, avant de lancer un message. "Je me joins au secrétaire Kerry pour encourager toutes les parties prenantes à agir de manière responsable et de demander à leurs sympathisants de faire de même. Je crois que la démocratie kényane pourrait émerger de cette élection plus forte que jamais et qu'elle pourrait servir d'inspiration au reste du continent".
Quant à son codirigeant, il a embouché la même trompette. " Le Kenya a parcouru un long chemin depuis les élections de 2007. C'est maintenant la responsabilité des autorités de chaque camp d'assurer que la violence qui a eu lieu avant ces élections ne se répète pas.
Ceux d'entre nous qui surveilleront les élections sur le terrain, auront aussi une responsabilité vis-à-vis des citoyens pour que chacun soit confiant, que le processus se déroule de manière juste et honnête", a lancé John Kerry. Et de poursuivre : " j'engage tout parti politique et tout candidat à soutenir un processus électoral qui est juste, crédible, ordonné et non violent, à respecter le code de conduite électoral et à rester fidèle au peuple kényan."
Enquête