En effet, sous la houlette d’un collectif dénommé « Fouta en marche », un important travail d’information et de sensibilisation à la base, a été démarré dans plusieurs localités du département de Podor. Organisés en diverse cellules, ces militants de la rupture –comme ils se définissent- expliquent que le terroir ne peut plus se contenter d’assister aux rivalités entre des figures politiques faisant partie du décor depuis plusieurs années.
Selon eux, il est grand temps que les populations du Fouta, notamment celles de Podor, envoient à la retraite, « une caste de politiciens qui se nourrit de clivages et de batailles de positionnement », au lieu de défendre les intérêts du terroir. Dès lors, il s’agit aujourd’hui, à les en croire, d’élever très haut la barre, pour envoyer à l’Assemblée nationale, des valeurs sûres, des personnalités reconnues pour leur engagement local, qui vont porter les préoccupations des communautés de base.
« Nous travaillons à l’émergence de nouveaux visages, le 17 novembre prochain. Ces derniers n’ont pas forcément une aura publique, mais ont tout de même le mérite de se donner corps et âme pour apporter des réponses aux difficultés quotidiennes des populations », font remarquer les tenants du changement, qui en appellent au « meilleur choix », pour offrir enfin, à cette contrée du Fouta, les représentants qu’elles méritent.
Dans ce sillage, ils soulignent avec force détails, qu’une dame de référence comme Aïssata Aw, aurait toute sa place à l’Hémicycle, pour peu que les forces du développement à la base, portent à bras-le corps sa candidature au poste de député. En effet, Mme Aw est avant tout une militante acharnée de la promotion économique et sociale des femmes, qui s’est beaucoup investie dans l’amélioration des conditions de vie de la gent vulnérable.
De Galoya à Podor, en passant par l’ile à Morphil, cette férue de la politique de développement de proximité, a aidé nombre de groupements féminins du terroir, à s’émanciper de leur dur labeur quotidien.
Abou Kane
Selon eux, il est grand temps que les populations du Fouta, notamment celles de Podor, envoient à la retraite, « une caste de politiciens qui se nourrit de clivages et de batailles de positionnement », au lieu de défendre les intérêts du terroir. Dès lors, il s’agit aujourd’hui, à les en croire, d’élever très haut la barre, pour envoyer à l’Assemblée nationale, des valeurs sûres, des personnalités reconnues pour leur engagement local, qui vont porter les préoccupations des communautés de base.
« Nous travaillons à l’émergence de nouveaux visages, le 17 novembre prochain. Ces derniers n’ont pas forcément une aura publique, mais ont tout de même le mérite de se donner corps et âme pour apporter des réponses aux difficultés quotidiennes des populations », font remarquer les tenants du changement, qui en appellent au « meilleur choix », pour offrir enfin, à cette contrée du Fouta, les représentants qu’elles méritent.
Dans ce sillage, ils soulignent avec force détails, qu’une dame de référence comme Aïssata Aw, aurait toute sa place à l’Hémicycle, pour peu que les forces du développement à la base, portent à bras-le corps sa candidature au poste de député. En effet, Mme Aw est avant tout une militante acharnée de la promotion économique et sociale des femmes, qui s’est beaucoup investie dans l’amélioration des conditions de vie de la gent vulnérable.
De Galoya à Podor, en passant par l’ile à Morphil, cette férue de la politique de développement de proximité, a aidé nombre de groupements féminins du terroir, à s’émanciper de leur dur labeur quotidien.
Abou Kane