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Enseignement supérieur: Près de 68 548 nouveaux Bacheliers attendus dans les Universités du pays

Le Sénégal enregistre 68 548 nouveaux bacheliers en 2021. « Cet apport majeur est encore insuffisant. Loin des standards internationaux et relatifs au ratio étudiant/population, il constitue néanmoins la clé de voute de notre croissance économique préalable à l’émergence théorisée, défendue et matérialisée par des actes concrets du Chef de l’Etat.


Rédigé par leral.net le Mardi 31 Août 2021 à 19:48 | | 0 commentaire(s)|

Enseignement supérieur: Près de 68 548 nouveaux Bacheliers attendus dans les Universités du pays
Pr Moustapha Sall, Enseignant-chercheur au Département d’Histoire, FLSH, UCAD révèle qu’il s’agira d’accueillir comme l’année dernière, 68 548 nouveaux bacheliers sur la base de leurs choix, librement exprimés, en fonction des résultats obtenus au baccalauréat.

Le MESRI réaffirme la ferme décision du gouvernement sénégalais d’orienter dans le public tous les bacheliers de 2021 qui en feront la demande. Conformément au processus habituel, leur accueil sera déterminé d’un commun accord avec les instances académiques des Universités, des Instituts supérieur d’Enseignement professionnel (ISEP) et des BTS publics.

Néanmoins, informe-t-on, le travail entamé par la Commission nationale d’orientation des bacheliers et la Nouvelle Commission d’évaluation de l’outil campusen adopteront une approche basée sur une orientation intelligente et utile pour le bachelier. Il s’agira d’offrir à chacun, sur la base de son profil académique et de son âge, la chance de bénéficier d’une formation professionnelle qualifiée.

En tout état de cause, les établissements publics d’enseignement supérieur sont dans les dispositions pour les accueillir. D’autant plus que, estime-t-il, des efforts importants ont été consentis et sont en train d’être poursuivis.

Le président de la République Macky Sall qui tient le gouvernail, de par les actes posés a fini de considérer l’enseignement supérieur comme une surpriorité dans sa vision pour l’émergence du pays.


Ousmane Wade