Leral-Net - Trouver un ministre, un parlementaire, un sénateur et même un président de conseil d’administration pauvres sous le régime de Wade, ce serait demander à quelqu’un de trouver une aiguille dans un hangar de foin. Pauvres et misérables à la limite bien avant 2000 et habitant tous dans des domiciles aux toitures en zinc, les hommes du pouvoir ont tous à la faveur de l’alternance amassé beaucoup de biens.
De l’indigence à l’opulence
Les hommes du Président Wade étaient tous presque pauvres, nécessiteux et indigents en 2000. Aujourd’hui, ils conduisent tous de superbes véhicules aux vitres teintées pour mieux ignorer et éviter les électeurs qui les ont portés au pouvoir un soir du 19 mars. Il n’existait pas un seul parlementaire voire un seul ministre directeur ou Pca qui logeait dans une maison à étage avant l’alternance. Ils habitaient tous dans des maisons crasseuses au toit qui s’envolait au moindre coup de vent, des toitures qui laissaient échapper la moindre goutte de pluie inondant ainsi leur chambre à moins qu’ils ne posent de petits récipients pour recueillir les eaux qui suintent afin d’éviter que leurs affaires se mouillent et se gâtent. Aujourd’hui, ils ont tous construit de somptueux châteaux en moins d’une décennie, de gigantesques palais qu’un haut fonctionnaire mettrait au moins 100 ans pour bâtir. Par une alchimie digne d’un feuilleton d’Hollywood, ils sont subitement et spectaculairement devenus riches. Les maisons de Soulèymane Ndéné Ndiaye, de Bécaye Diop, de Pape Diop, de Madické Niang et de Karim Wade font pignon entre le Sénégal et l’hexagone. Ils ont riches à tel point que Soulèymane Ndéné a organisé un somptueux baptême pour sa jument dans son verger.
De l’indigence à l’opulence
Les hommes du Président Wade étaient tous presque pauvres, nécessiteux et indigents en 2000. Aujourd’hui, ils conduisent tous de superbes véhicules aux vitres teintées pour mieux ignorer et éviter les électeurs qui les ont portés au pouvoir un soir du 19 mars. Il n’existait pas un seul parlementaire voire un seul ministre directeur ou Pca qui logeait dans une maison à étage avant l’alternance. Ils habitaient tous dans des maisons crasseuses au toit qui s’envolait au moindre coup de vent, des toitures qui laissaient échapper la moindre goutte de pluie inondant ainsi leur chambre à moins qu’ils ne posent de petits récipients pour recueillir les eaux qui suintent afin d’éviter que leurs affaires se mouillent et se gâtent. Aujourd’hui, ils ont tous construit de somptueux châteaux en moins d’une décennie, de gigantesques palais qu’un haut fonctionnaire mettrait au moins 100 ans pour bâtir. Par une alchimie digne d’un feuilleton d’Hollywood, ils sont subitement et spectaculairement devenus riches. Les maisons de Soulèymane Ndéné Ndiaye, de Bécaye Diop, de Pape Diop, de Madické Niang et de Karim Wade font pignon entre le Sénégal et l’hexagone. Ils ont riches à tel point que Soulèymane Ndéné a organisé un somptueux baptême pour sa jument dans son verger.
Bathily, Landing et Dansokho dans le salon de Wade pour faire partir Tanor Dieng et Diouf Abdoulaye Bathily, Amath Dansokho et Landing Savané ne sont pas assez représentatifs pour pouvoir accéder à la magistrature suprême. Leur stratégie c’est un de produire des présidents comme ils l’avaient fait avec Wade en 2000. Cette photo a été prise au Point E dans le salon de Wade. Ils concoctaient des plans pour déloger Ousmane Tanor Dieng et Abdu Diouf du Palais. Aujourd’hui, ils dorment au salon de Niass pour déloger Wade. Sacrés hommes de gauche…