Exclusif! Léa Soukeyna Ndiaye: "Mon histoire avec Ibou Kara Mbacké et Thioro Balbaki..."

Qu’en est-il de votre histoire de fiançailles avec Ibou Kara Mbacké ?

Mon histoire avec Ibou Kara, ce n’est pas autant que les journaux ont voulu dire. Déjà on n’était pas fiancés et après il n’y a pas eu ni d’histoire ni de scandale avec Thioro Balbaaki ou quoi que ce soit. Comme je l’ai dit, je n’ai rien en commun avec Thioro Balbaaki. Ibou Kara et moi, on se connait depuis longtemps et on s’apprécie beaucoup et c’est quelqu’un que je respecte énormément. De mon côté, je ne me permettrai pas de donner une fausse information de la sorte. Depuis qu’on était ensemble, personne n’était au courant et j’étais un peu surprise d’apprendre cette information, je ne sais pas qui l’a donnée. Bon j’ai reçu plusieurs versions derrière tout ça. Aujourd’hui cela m’importe peu. Il restera quelqu’un que je respecterai toujours. Je le souhaite tout le bonheur du monde au fond de mon cœur. Maintenant, on ne sort plus ensemble, on n’a plus de rapports et on ne communique plus.

Est-ce que vous confirmez que vous sortiez ensemble ?

Oui ! On a d’abord été des amis, je veux dire qu’on était de grands amis et qu’on tenait beaucoup l’un pour l’autre. C’est une personne très bien que je respecte beaucoup et qui mérite qu’on ne parle pas de lui comme ça, que des filles se permettent de dire qu’elles soient amoureuses de lui ou c’est leur copain. Parce que c’est un fils d’un guide religieux et il a une bonne réputation.

On dit que c’est à cause de Thioro Balbaaki que vous vous êtes séparés. D’ailleurs quels sont vos rapports ?

On ne se connait absolument pas, on ne souhaite non plus se connaitre. On n’a pas d’affinités particulières et on n’est pas du tout dans le même monde voilà. Moi je travaille, je fais mes études, je sors les weekends et je n’ai pas beaucoup d’amis à Dakar. Donc quand quelqu’un ne m’intéresse pas, il ne m’intéresse pas. Je connais beaucoup de gens comme ça, alors s’agissant d’elle, on n’a rien en commun absolument rien de particulier. Je ne la critique absolument pas mais je pense qu’on n’a ni les mêmes objectifs ni les visions de la vie. En tout cas, je lui souhaite une bonne continuation dans ce qu’elle fait mais elle et moi, on n’a pas envie d’être assimilées l’une pour l’autre.

Alors comment vivez-vous cette histoire au quotidien ?

Je vis comme j’ai l’habitude de le faire. Il n’y a que mes études qui comptent pour le moment, le reste m’importe peu. D’abord j’ai été surprise d’apprendre cela, ensuite c’est la première fois qu’on parle de moi en dehors de mon travail, c’est ce que je ne souhaite pas encore. Enfin, je pense que ma vie n’intéresse personne. Je suis passionnée par mon travail et j’ai envie d’y persévérer surtout avec Kinkéliba et mes projets.

Est-ce que vos parents sont au courant de cette histoire ?

Bien sûr que tout le monde est au courant. J’en ai parlé à ma mère avec qui je me confie énormément. Elle est en France mais elle suit beaucoup ce qui se passe au Sénégal. Elle m’a tout simplement conseillée de prendre le coup. Je n’ai pas cherché à répliquer. Moi, je souhaite que du bonheur à tout le monde. Je ne suis pas une personne médisante qui veut du mal à quelqu’un et on ne m’entend jamais parler derrière le dos de quelqu’un.

Alors qu’est-ce vous dites à vos détracteurs ?

Je leur dis de vérifier leurs sources. De toute façon, je suis la cible mais je ne suis pas ce genre de fille à qui il faut s’attaquer. Parce que je ne vais ni riposter ni faire un scandale. Je ne peux que contrôler mes actes et pas ceux d’une tiercée personne. Les gens veulent la liberté d’expression et des médias. Donc je ne les encourage pas, je ne les stoppe pas non plus, qu’ils fassent ce qu’ils veulent. L’essentiel pour moi est que je sais ce qui se passe dans ma vie et je n’ai pas ce temps là.

Interview réalisée par Cheikh Camara COKA