Il s’agit, entre autres, de l’agro-industrie, de l’économie numérique, de la promotion immobilière, des zones économiques et du tourisme. En fait, ce plan indique les priorités du développement pour le Congo et les autres pays africains. Et c’est dans ce sens que la priorité est accordée à l’agro-business.
Selon Paul Valentin Ngobo, ministre congolais de l’Agriculture, l’importance de ce secteur «n’est plus à démontrer et il permet d’atteindre les Objectifs de développement». «Le Congo, dit-il, tire 69% de ses ressources de l’agriculture. En mettant l’accent sur l’agriculture, cela permettra d’atteindre l’autosuffisance alimentaire d’ici 2030. C’est seulement cela qui pourra hisser le pays au top et nous permettre de lutter contre le chômage et les inégalités commerciales», ajoute-t-il.
Aujourd’hui, il sublime son importance, en donnant l’exemple de l’impact des dernières crises provoquées par la survenue du Covid-19 et la guerre en Ukraine. «L’impact de ces crises montre que les pays africains dépendent de l’agriculture. Nous devons nous mobiliser pour réduire cette dépendance en développant des entreprises agricoles. Et l’agriculture reste le pilier du développement et assure la sécurité alimentaire au continent», dit-il.
En écho, Ibrahima Mounir, Directeur général de Crédit Congo, estime qu’il faut travailler avec les investisseurs, en tendant la main aux autorités pour exploiter tout le potentiel congolais.
Le Quotidien
Selon Paul Valentin Ngobo, ministre congolais de l’Agriculture, l’importance de ce secteur «n’est plus à démontrer et il permet d’atteindre les Objectifs de développement». «Le Congo, dit-il, tire 69% de ses ressources de l’agriculture. En mettant l’accent sur l’agriculture, cela permettra d’atteindre l’autosuffisance alimentaire d’ici 2030. C’est seulement cela qui pourra hisser le pays au top et nous permettre de lutter contre le chômage et les inégalités commerciales», ajoute-t-il.
Aujourd’hui, il sublime son importance, en donnant l’exemple de l’impact des dernières crises provoquées par la survenue du Covid-19 et la guerre en Ukraine. «L’impact de ces crises montre que les pays africains dépendent de l’agriculture. Nous devons nous mobiliser pour réduire cette dépendance en développant des entreprises agricoles. Et l’agriculture reste le pilier du développement et assure la sécurité alimentaire au continent», dit-il.
En écho, Ibrahima Mounir, Directeur général de Crédit Congo, estime qu’il faut travailler avec les investisseurs, en tendant la main aux autorités pour exploiter tout le potentiel congolais.
Le Quotidien