Une violation des règles du jeu, qui étaient pourtant définies par l’équipe dirigeante de la FSBB et qui avaient servi à l’élimination de potentiels candidats, « non acteurs » des associations sportives. Qu’est-ce qui a changé pour justifier ce revirement à 360 degrés ? Le président Babacar Ndiaye s’est retrouvé dans la posture de ceux-là qu’il combattait hier : les « sans club ».
Il fallait ainsi un subterfuge, dans le seul but de légitimer sa candidature. Sauf que ça semble antidémocratique de s’appliquer une disposition créée en plein exercice de son mandat. Une démarche contraire à la lettre et à l’esprit des textes. Mieux, elle ne s’accommode pas aux lois et règlements du pays.
Et, le Conseil constitutionnel a tranché à ce niveau, en refusant au chef de l’Etat, l’application de la révision sur la durée de son mandat en cours qu’il voulait réduire de 7 à 5 ans. L’avis ou la décision des « sept sages » disait en clair que la loi de 2016 ne lui était pas applicable. Elle prenait effet à partir du mandat suivant. Idem pour le président de la Fédération sénégalaise de basketball et son Comité directeur.
Selon la Convergence pour le renouveau de la discipline (CRBS), en qualité de membres sortants, ils ne sont pas éligibles. C’est ce combat que la structure est en train de mener. Et la rencontre avec le ministre des Sports, vendredi dernier, une initiative de Baba Tandian, pourrait provoquer le déclic.
D’après "Diant bi", les échanges, nous informe-t-on, ont duré trois tours d’horloge. Toutes les questions ont été évoquées dont la plus cruciale : la participation de Me Babacar Ndiaye à la prochaine élection pour la présidence de la FSBB (13 mai). La tutelle n’aurait pas donné une garantie à la CRBS, toutefois il n’est pas exclu que le DAPS (Directeur des activités physiques et sortifs), soit instruit dans le sens de procéder à un examen les textes. Surtout, en ce qui concerne les changements apportés et approuvés en 2021. Une révision qui ne respecte pas la notion de « caractère général et impersonnel ». Le contexte comme les objectifs, sont également sans fondements juridiques.
Il fallait ainsi un subterfuge, dans le seul but de légitimer sa candidature. Sauf que ça semble antidémocratique de s’appliquer une disposition créée en plein exercice de son mandat. Une démarche contraire à la lettre et à l’esprit des textes. Mieux, elle ne s’accommode pas aux lois et règlements du pays.
Et, le Conseil constitutionnel a tranché à ce niveau, en refusant au chef de l’Etat, l’application de la révision sur la durée de son mandat en cours qu’il voulait réduire de 7 à 5 ans. L’avis ou la décision des « sept sages » disait en clair que la loi de 2016 ne lui était pas applicable. Elle prenait effet à partir du mandat suivant. Idem pour le président de la Fédération sénégalaise de basketball et son Comité directeur.
Selon la Convergence pour le renouveau de la discipline (CRBS), en qualité de membres sortants, ils ne sont pas éligibles. C’est ce combat que la structure est en train de mener. Et la rencontre avec le ministre des Sports, vendredi dernier, une initiative de Baba Tandian, pourrait provoquer le déclic.
D’après "Diant bi", les échanges, nous informe-t-on, ont duré trois tours d’horloge. Toutes les questions ont été évoquées dont la plus cruciale : la participation de Me Babacar Ndiaye à la prochaine élection pour la présidence de la FSBB (13 mai). La tutelle n’aurait pas donné une garantie à la CRBS, toutefois il n’est pas exclu que le DAPS (Directeur des activités physiques et sortifs), soit instruit dans le sens de procéder à un examen les textes. Surtout, en ce qui concerne les changements apportés et approuvés en 2021. Une révision qui ne respecte pas la notion de « caractère général et impersonnel ». Le contexte comme les objectifs, sont également sans fondements juridiques.