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Farba Senghor s’acharne sur Abdou Latif Coulibaly et Amath Dansokho


Rédigé par leral.net le Mercredi 20 Mars 2013 à 15:46 | | 2 commentaire(s)|

Farba Senghor s’acharne sur Abdou Latif Coulibaly et Amath Dansokho
Visiblement Farba Senghor ne supporte pas Amath Dansokho et Latif Coulibaly. Ces ministres conseillers, selon l’ancien ministre d’Etat, sont en train de manœuvrer pour dissimuler une escroquerie politique. Celle-ci consiste, d'après ses dires, en ce que les susnommés aient voulu abuser le Chef de l’Etat en lui faisant croire que «des dignitaires du Parti démocratique dénégalais (Pds) auraient planqué plusieurs milliers de milliards de F CFA dans des banques à l’étranger dont plus de 2 000 milliards de francs CFA en France». «En réalité, ces conseillers ont simplement trompé le Président Macky Sall pour sécuriser leur poste et leurs privilèges (voyages, voitures, hôtels, soins médicaux à l’étranger ou autres)». En tout état de cause, dit-il : «ils ont porté un discrédit sur l’action du Chef de l’Etat auprès des institutions financières internationales et des Etats amis qui ont été chargés de traquer les présumés biens mal acquis». «Au finish, ils seront ridicules face au peuple. Ces deux-là ne sont que des escrocs !» a-t-il persiflé.



1.Posté par Alioune Diop le 21/03/2013 00:39 | Alerter
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COMITE D’INITIATIVE POUR UNE MOBILISATION
ALTERNATIVE ET CITOYENNE


Siège Social : Ya Salam Guédiawaye
Téléphone : 76.680.08.23 / 77.539.20.18
Mail : cimacpg@yahoo.fr
Site : www.cimac.africa-web.org
N° : RC : 12760/MINT /DAGAT/



Lettre ouverte au Secrétariat du forum social sénégalais et aux participants au FSM de Tunis.


Au moment où on s’achemine vers le FSM de Tunis, je voudrais inviter les éminents participants sénégalais à éviter de renforcer les nombreuses confusions inhérentes à la situation actuelle.
Et d’abord, il semble établi que les mouvements sociaux en quête d’alternative au capitalisme et sa crise profonde n’ont pas influencé de manière significative les pouvoirs politiques issus des luttes dites du « printemps arabe » et de l’alternance survenue en 2010 au Sénégal. C’est pourquoi il n’est pas possible de proclamer un quelconque triomphe d’une révolution et de s’identifier à ces pouvoirs.
Ainsi, on ne peut pas faire l’apologie des pratiques du gouvernement de Macky Sall des lors que celui-ci pérennise le système d’exploitation et de domination en cours de 1960 à nos jours.
De plus, la faiblesse de la préparation du FSM de Tunis par le FSS et ses parties prenantes devrait inciter les participants sénégalais à ne pas s’enfoncer et engager le FSS dans l’apologie du régime de Macky Sall. Les actes du président doivent être appréciés non de manière subjective et sentimentale mais plutôt sur la base d’une critique objective corrélée aux revendications antérieures des mouvements sociaux.
Chaque participant peut assumer son appréciation et sa conviction ou refléter l’engagement de son organisation mais remorquer le FSS au pouvoir politique de Macky Sall et aux politiciens qui, pour des prébendes et des strapontins, ont renié les positions qu’ils ont défendues avant d’être élus, serait un abus de pouvoir inconcevable.
Les orientations économiques et sociales du régime de Macky Sall sont essentiellement une continuation des régimes précédents. Elles ne constituent pas des ruptures avec les mesures néolibérales antérieurement déroulées. Elles consolident plutôt les l’exploitation et le pillage opérés par l’oligarchie financière internationale et les firmes du Nord.
Les poursuites de quelques dirigeants du PDS ne peuvent pas faire des illusions et constituer un écran de fumée pour brouiller les revendications des mouvements sociaux. La mémoire de la justice sélective et manipulatrice des régimes précédents est encore vivace dans la conscience des mouvements sociaux.
En tout cas, les mouvements sociaux et citoyens ont réclamé de manière systématique sous le précèdent régime l’audit des politiques publiques, des scandales financiers et celui de la dette multilatérale. En plus, le programme politique du candidat Macky Sall n’annonçait-il pas l’audit des politiques publiques ? C’est pourquoi une question devient essentielle : pourquoi tarde t-on alors à entamer les audits des politiques publiques menées de 2000 à 2012 ? Chercherait-on à se protéger ou à couvrir des amis ?
Dès lors, en privilégiant la cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) sur l’audit sous le contrôle citoyen, on procède à une supercherie. Et, au demeurant, la fortune affichée par le président Sall est aussi suspecte que celles qu’il poursuit.
Par ailleurs, les déceptions suscitées par le régime de Macky Sall et les luttes sociales s’amplifient et interpellent les mouvements sociaux et citoyens. Peuvent-ils déserter plus longtemps leur camp ?
De plus, le secrétariat du FSS et les participants au FSM de Tunis ne devraient pas oublier que le Conseil International du FSM réuni à Dakar les 29, 30 et 31 Juillet 2010 avait adopté la proposition de la Coalition Citoyenne de la Banlieue (CCB/FSM2011) comme un apport dans la méthodologie. Or, celle-ci mettait en exergue la vigueur et l’amplitude des répercussions du système capitaliste dans la banlieue.
Aussi, la CCB avait organisé durant toute la période de Dakar 2011 des activités dans la banlieue. Par conséquent, le Secrétariat du FSS et les participants au FSM de Tunis devraient mettre en perspective cet apport à Tunis dans la mesure où la CCB et ses parties prenantes ne sont pas sérieusement impliquées dans la préparation du FSM de Tunis et dans la représentation.
De toute façon, la volonté de renouvellement et de radicalisation resterait une simple prétention si les mouvements et les leaders persistaient dans les compromissions avec le régime de Macky Sall. De plus, il est urgent de renforcer l’implication des bases et la démocratie directe.

Recevez chers amis et camarades mes encouragements.



Mardi 19 Mars 2013.









Alioune DIOP
Président du CIMAC
Coordonnateur de la CCB
76 680 08 23
badadiop@hotmail.com

2.Posté par Thiey le 21/03/2013 09:54 | Alerter
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Le problème du PDS et de ses dirigeants, ce sont Amath Dansokho et Latif Coulibaly. Le premier a été le premier à dénoncer la supercherie D'Abdoulaye Wade dès les premiers jours de l'alternance en 2000, ce qui lui avait valu d'être défenestré du gouvernement alors qu'il a été le porte-étendard du Sopi. Le deuxième pour avoir démonté les mensonges de Wade sur l'avion présidentiel. Les deux ont révélé au Sénégal et au monde la face hideuse du monstre Wade. Depuis lors c'est une lutte à mort que Wade et ses affidés livrent au PIT pour le supprimer de la carte politique du Sénégal allant même jusqu'à dire que le PIT ne mettra plus les pieds à l'assemblée nationale comme si c'était leur chambre. Tout est y passé: calomnies, diffamations mensonges dont le plus répandu est celui prétendant que c'est Wade qui soigne Dansokho alors ce dernier dispose d'une assurance tous-risques valable dans tus les pays membres de L'OMS. Mais le peuple et les démocrates vouent un respect mérité à Dansokho pour avoir mené un combat titanesque pour leur débarraser des monstres libéraux qui ont fini, comme des sangsues, de sucer le sang de notre pays .

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