A partir de 2026, un quart des pays de la planète disputeront la phase finale de la Coupe du monde de football. Ce 10 janvier 2017, la Fifa, l’instance qui gère cette discipline, a en effet, voté une très nette hausse du nombre d’équipes qui vont participer à la plus importante manifestation sportive après les Jeux olympiques d’été.
La phase finale de la Coupe du monde se jouera certes encore à 32 équipes en 2018 (Russie) et en 2022 (Qatar). En revanche, la 23e édition sera celle de « l’ouverture », notamment vers l’Asie et son énorme marché.
L’Asie, cible privilégiée du Mondial à 48 équipes
La Fifa espère en effet que des nations très peuplées – mais peu performantes en football – comme la Chine et l’Inde parviendront à se qualifier pour le Mondial. Car, jusqu’à présent, la sélection indienne n’y a jamais pris part et l’équipe chinoise a tout juste disputé la Coupe du monde 2002.
A l’heure actuelle, entre 4 et 5 équipes asiatiques se qualifient pour la Coupe du monde. A partir de 2026, ce seront entre 8 et 9 sélections de ce continent qui joueront cette compétition quadriennale.
L’Afrique n’est pas en reste
L’Afrique, dans cette nouvelle répartition, est par ailleurs loin d’être lésée. Elle devrait, en effet, doubler son quota de places, passant de cinq représentants en 2018 et en 2022 à 9 ou 10 par la suite.
Thierno Malick Ndiaye avec Rfi
La phase finale de la Coupe du monde se jouera certes encore à 32 équipes en 2018 (Russie) et en 2022 (Qatar). En revanche, la 23e édition sera celle de « l’ouverture », notamment vers l’Asie et son énorme marché.
L’Asie, cible privilégiée du Mondial à 48 équipes
La Fifa espère en effet que des nations très peuplées – mais peu performantes en football – comme la Chine et l’Inde parviendront à se qualifier pour le Mondial. Car, jusqu’à présent, la sélection indienne n’y a jamais pris part et l’équipe chinoise a tout juste disputé la Coupe du monde 2002.
A l’heure actuelle, entre 4 et 5 équipes asiatiques se qualifient pour la Coupe du monde. A partir de 2026, ce seront entre 8 et 9 sélections de ce continent qui joueront cette compétition quadriennale.
L’Afrique n’est pas en reste
L’Afrique, dans cette nouvelle répartition, est par ailleurs loin d’être lésée. Elle devrait, en effet, doubler son quota de places, passant de cinq représentants en 2018 et en 2022 à 9 ou 10 par la suite.
Thierno Malick Ndiaye avec Rfi