La convention signée entre l’Agence nationale de la maison de l’outil (Anamo) et l’institut Al Azhar, à travers les Centres d’excellence pour l’éducation et la formation professionnelle, traduit la volonté de ces deux institutions de concrétiser le partenariat public-privé. Cela, dans le but d’arriver à une insertion durable via l’auto-emploi en s’appuyant sur les compétences techniques et l’accès à la technologie. D’une durée de 2 ans, cette convention permettra aux sortants des centres d’excellence de bénéficier très tôt d’un accompagnement à l’insertion en leur faisant bénéficier, entre autres, de l’incubation d’entreprises, de renforcement de capacités et de la banque d’outils. Premier jalon du projet d’édification de l’Université Cheikh Ahmadou Bamba, ces centres d’excellence sont basés à Mbao, Bambey, Touba et bientôt à Saint-Louis.
Selon Serigne Mame Mor Mbacké Mourtada, président de l’institut Al Azhar, ces centres « vont former les meilleurs élèves dans les domaines de l’électromécanique, l’électrotechnique, l’agriculture, l’élevage, la santé communautaire…». Ces bacheliers issus du système d’éducation arabe avaient des difficultés à s’insérer dans le tissu socioprofessionnel.
Selon El hadji Malick Mbaye, directeur général de l’Anamo, ce partenariat vise à mettre dans ces centres de formation d’excellence le concept de la maison de l’outil, en vue d’accompagner les sortants. « L’emploi est presque garanti avec ces centres d’excellence, car les pensionnaires de ces écoles sont bien formés et gagnent à 2 niveaux avec la formation théorique et l’accompagnement de l’Anamo dans la pratique », a-t-il laissé entendre. Selon lui, cette convention permettra de placer sur le marché de l’emploi un produit fini et capable d’être inséré dans le secteur de l’emploi, d’autant plus que seuls 4 % des gens qui ayant un boulot ont une formation professionnelle.
Pour Yankhoba Badiane, directeur du centre d’excellence Cheikh Mouhamadou Mourtada basé à Mbao, ce partenariat est venu à son heure, en ce sens qu’il va assurer la disponibilité du matériel dans les différents centres de formation.
Ibrahima BA et Oumar NDIAYE
Selon Serigne Mame Mor Mbacké Mourtada, président de l’institut Al Azhar, ces centres « vont former les meilleurs élèves dans les domaines de l’électromécanique, l’électrotechnique, l’agriculture, l’élevage, la santé communautaire…». Ces bacheliers issus du système d’éducation arabe avaient des difficultés à s’insérer dans le tissu socioprofessionnel.
Selon El hadji Malick Mbaye, directeur général de l’Anamo, ce partenariat vise à mettre dans ces centres de formation d’excellence le concept de la maison de l’outil, en vue d’accompagner les sortants. « L’emploi est presque garanti avec ces centres d’excellence, car les pensionnaires de ces écoles sont bien formés et gagnent à 2 niveaux avec la formation théorique et l’accompagnement de l’Anamo dans la pratique », a-t-il laissé entendre. Selon lui, cette convention permettra de placer sur le marché de l’emploi un produit fini et capable d’être inséré dans le secteur de l’emploi, d’autant plus que seuls 4 % des gens qui ayant un boulot ont une formation professionnelle.
Pour Yankhoba Badiane, directeur du centre d’excellence Cheikh Mouhamadou Mourtada basé à Mbao, ce partenariat est venu à son heure, en ce sens qu’il va assurer la disponibilité du matériel dans les différents centres de formation.
Ibrahima BA et Oumar NDIAYE