Les membres de ladite structure ont profité de cette occasion pour revenir sur l’ensemble des événements qui ont secoué le Sénégal avant et pendant le scrutin.
« Des tentatives de fraudes ont été notées notamment par le transfert d’électeur d’une localité à une autre. La mobilisation de nervis a été également préjudiciable à la sécurité du scrutin », déplore M. amadou Ciré Sall, ancien secrétaire général de la commission électorale nationale autonome (Cena). Et d’expliquer : « Des pratiques ont pris essentiellement la forme d’achat de conscience. » Une habitude que le Rescocit dénonce fermement.
Pour le scrutin du deuxième tour prévu le 18 mars prochain, le Rescocit demande à la Cena « d’exercer effectivement les pouvoirs de sanction que lui confère la loi face aux manquements de toute autorité administrative ». Mais, surtout « de faire preuve de plus d’autorité vis-à-vis de son propre agent ». Aux politiques, les observateurs suggèrent d’aller tous à la table des négociations. « Dans ce cadre, la réforme du conseil constitutionnel devrait être engagée pour rétablir la confiance dans la justice », suggère Amadou Ciré Sall.
« Des tentatives de fraudes ont été notées notamment par le transfert d’électeur d’une localité à une autre. La mobilisation de nervis a été également préjudiciable à la sécurité du scrutin », déplore M. amadou Ciré Sall, ancien secrétaire général de la commission électorale nationale autonome (Cena). Et d’expliquer : « Des pratiques ont pris essentiellement la forme d’achat de conscience. » Une habitude que le Rescocit dénonce fermement.
Pour le scrutin du deuxième tour prévu le 18 mars prochain, le Rescocit demande à la Cena « d’exercer effectivement les pouvoirs de sanction que lui confère la loi face aux manquements de toute autorité administrative ». Mais, surtout « de faire preuve de plus d’autorité vis-à-vis de son propre agent ». Aux politiques, les observateurs suggèrent d’aller tous à la table des négociations. « Dans ce cadre, la réforme du conseil constitutionnel devrait être engagée pour rétablir la confiance dans la justice », suggère Amadou Ciré Sall.