Sa réussite insolente peut déranger ceux qui viennent de découvrir son génie. Ses plus grands détracteurs ne misaient aucun kopeck sur sa tête alors que la pandémie arrivait à grands pas. Même dans l’attelage présidentiel où l’ingratitude et la convoitise sont les choses les plus partagées, Abdoulaye Diouf Sarr a su prendre de la hauteur et comprendre la mesure de son challenge. Du défi immense pour lequel le Président Macky Sall, lançant la riposte nationale, avait choisi de lui parler en tête-à-tête, lui renouvelant toute sa confiance dans un combat qu’il fallait mener avec beaucoup de lucidité mais aussi une bonne dose de détermination.
Le pilote en chef, Macky Sall, avait déjà était séduit par le plan de riposte élaboré par les services du ministère de la Santé et de l’Action sociale mais, c’est dans le déroulé des priorités que le Maire de Yoff a fait montre d’un esprit managérial sans précédent, laissant à chaque fois, la priorité au diagnostic médical, les choix stratégiques étant soumis à l’appréciation des techniciens, le tout dans une organisation qui n’a jamais failli depuis début mars.
Cette énergie régulière et constante, jamais altérée par les chiffres gonflants, a fait tilt d’abord dans son cabinet, puis au niveau des structures à la pointe du combat médical. Rien que la constance observée dans la livraison du bulletin quotidien, laisse perler le sérieux et tout l’engagement d’un soldat au service de la République.
Trois mois après que sa partition s’achève, pour l’essentiel, pendant que les communautés sont appelées à prendre le relai médical, en lieu et place de lauriers, Abdoulaye Diouf Sarr fait l’objet d’attaques injustifiées, voire mal placées si l’on se réfère aux résultats glanés sous sa tutelle et qui permettent à notre pays de se forger encore une réputation dans la réponse nationale avec des résultats plus que flatteurs : un taux de positivité de 7,36%, un taux de guérison à 53,77% et enfin un taux de létalité de 1,12%.
El Samba Thiam (Kritik' Hebdo)
Le pilote en chef, Macky Sall, avait déjà était séduit par le plan de riposte élaboré par les services du ministère de la Santé et de l’Action sociale mais, c’est dans le déroulé des priorités que le Maire de Yoff a fait montre d’un esprit managérial sans précédent, laissant à chaque fois, la priorité au diagnostic médical, les choix stratégiques étant soumis à l’appréciation des techniciens, le tout dans une organisation qui n’a jamais failli depuis début mars.
Cette énergie régulière et constante, jamais altérée par les chiffres gonflants, a fait tilt d’abord dans son cabinet, puis au niveau des structures à la pointe du combat médical. Rien que la constance observée dans la livraison du bulletin quotidien, laisse perler le sérieux et tout l’engagement d’un soldat au service de la République.
Trois mois après que sa partition s’achève, pour l’essentiel, pendant que les communautés sont appelées à prendre le relai médical, en lieu et place de lauriers, Abdoulaye Diouf Sarr fait l’objet d’attaques injustifiées, voire mal placées si l’on se réfère aux résultats glanés sous sa tutelle et qui permettent à notre pays de se forger encore une réputation dans la réponse nationale avec des résultats plus que flatteurs : un taux de positivité de 7,36%, un taux de guérison à 53,77% et enfin un taux de létalité de 1,12%.
El Samba Thiam (Kritik' Hebdo)