La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) et Amnesty International Sénégal sont préoccupées par la grève observée par les travailleurs de la justice depuis le 15 juin 2020.
D’après ces trois entités, ladite grève a entraîné la paralysie de fait de toutes les juridictions du pays. Cette grève, relève-t-on, a de graves conséquences sur le droit des citoyens à un service public de la justice continu et de qualité. Les droits des personnes privées de liberté sont particulièrement affectés par cette grève.
Ainsi, ces organisations exhortent l’Etat du Sénégal à reprendre sans condition, le dialogue avec le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST), pour trouver une solution à leurs revendications légitimes.
Mais aussi, à respecter les engagements pris lors des négociations avec les syndicats des travailleurs, afin d’éviter les grèves récurrentes que connaissent tous les secteurs de la Fonction publique. Ces grèves, regrettent-elles, ont de graves incidences sur les droits humains.
D’après ces trois entités, ladite grève a entraîné la paralysie de fait de toutes les juridictions du pays. Cette grève, relève-t-on, a de graves conséquences sur le droit des citoyens à un service public de la justice continu et de qualité. Les droits des personnes privées de liberté sont particulièrement affectés par cette grève.
Ainsi, ces organisations exhortent l’Etat du Sénégal à reprendre sans condition, le dialogue avec le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST), pour trouver une solution à leurs revendications légitimes.
Mais aussi, à respecter les engagements pris lors des négociations avec les syndicats des travailleurs, afin d’éviter les grèves récurrentes que connaissent tous les secteurs de la Fonction publique. Ces grèves, regrettent-elles, ont de graves incidences sur les droits humains.
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