Hier, le dénigrement avait commencé pour disqualifier de la course au fauteuil de maire ceux qui ne sont pas natifs de Dahra. Dans cette campagne pathétique, orchestrée par des politiciens dont on se demande si vraiment c’est le rayonnement de la ville de Dahra qui les intéresse, deux candidats potentiels était ciblés. Il s’agit de l’ingénieur Samba Ndiobéne Kâ, un ingénieur Agronome à la tête de la Modernisation de l’Équipement rural et de l’avocat Maitre Amadou Kâ, et par ailleurs le président du Conseil d’administration du Port autonome de Dakar.
Aujourd’hui, ce sont les « gnégnos », une classe sociale, qui se sont sentis toucher dans leur propre orgueil. « Un « gnégno », un « gueweul » ou un « teug » ne doit pas diriger une structure dans cette commune ». Cela semble être le nouveau slogan de ces politiciens. Ce sont les « gnégnos » eux-mêmes qui le disent, par la voix de leur porte parole Magatte Lo. En effet, selon de dernier, ces propos « choquants » ont été émis lors des renouvellements des comités de santé. Ce qui les a faits sortir de leurs gongs. D’ailleurs l’association avait tenu un point de presse pour dénoncer avec la dernière énergie ce qu’elle appelle des « bassesses de la nature humaine ». Dans ce registre aussi, c’est un autre candidat sérieux qui serait la cible. C’est un progressiste, expert environnementaliste et Docteur en Biologie.
Force est de constater aussi le silence assourdissant des autres cadres du département. Ont-ils cautionné ses pratiques ? En tous les cas, les autorités religieuses et coutumières du Djoloff ne doivent donc plus attendre pour jouer leur rôle de sapeurs avant que l’irréparable ne se produise à Dahra où certains aspects de la féodalité qui distinguent les classes sociales, les ethnies et les origines risquent de briser l’équilibre social.
Djoloffactu.com
Aujourd’hui, ce sont les « gnégnos », une classe sociale, qui se sont sentis toucher dans leur propre orgueil. « Un « gnégno », un « gueweul » ou un « teug » ne doit pas diriger une structure dans cette commune ». Cela semble être le nouveau slogan de ces politiciens. Ce sont les « gnégnos » eux-mêmes qui le disent, par la voix de leur porte parole Magatte Lo. En effet, selon de dernier, ces propos « choquants » ont été émis lors des renouvellements des comités de santé. Ce qui les a faits sortir de leurs gongs. D’ailleurs l’association avait tenu un point de presse pour dénoncer avec la dernière énergie ce qu’elle appelle des « bassesses de la nature humaine ». Dans ce registre aussi, c’est un autre candidat sérieux qui serait la cible. C’est un progressiste, expert environnementaliste et Docteur en Biologie.
Force est de constater aussi le silence assourdissant des autres cadres du département. Ont-ils cautionné ses pratiques ? En tous les cas, les autorités religieuses et coutumières du Djoloff ne doivent donc plus attendre pour jouer leur rôle de sapeurs avant que l’irréparable ne se produise à Dahra où certains aspects de la féodalité qui distinguent les classes sociales, les ethnies et les origines risquent de briser l’équilibre social.
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