La caravane est partie du siège du Parti de la rénovation sociale (PRS) parcourant une distance d’environ 4 km qui s’est terminée devant les locaux de la Cédéao, dans la périphérie nord, à mi-chemin entre la ville et l’aéroport de Bissau.
Victor Mandinga, ministre du Commerce du gouvernement sortant, est sur la liste des sanctionnés. Il était très remonté contre la Cédéao.
« Il faut le dire. La Cédéao ne peut pas faire de la justice en donnant d’un côté la raison et de l’autre, le tort. Ce n’est pas acceptable. Ici, c’est une crise politique et les crises politiques, on les résout avec des élections et non pas avec des sanctions. Les sanctions vont nous amener à une position de radicalisation », a-t-il déclaré.
Les manifestants ont chanté l’hymne national et ont scandé des propos hostiles à la Cédéao. Un important dispositif des forces de l’ordre a été déployé tout le long du parcours. Des soldats de la force de la Cédéao, solidement armés et postés sur le toit et les alentours immédiats du siège de l’organisation, étaient également visibles.
Pour le coordinateur du groupe des 15 frondeurs du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau (PAIGC, au pouvoir), Braima Camara, la sanction est injuste et sans effet. « Pour nous, cette décision est fausse, injuste et sans effet. Chaque Bissau-Guinéen peut circuler librement où il veut et quand il le désire », a-t-il souligné.
La manifestation s’est terminée, en début d’après-midi, et aucun incident n’a été déploré.
Victor Mandinga, ministre du Commerce du gouvernement sortant, est sur la liste des sanctionnés. Il était très remonté contre la Cédéao.
« Il faut le dire. La Cédéao ne peut pas faire de la justice en donnant d’un côté la raison et de l’autre, le tort. Ce n’est pas acceptable. Ici, c’est une crise politique et les crises politiques, on les résout avec des élections et non pas avec des sanctions. Les sanctions vont nous amener à une position de radicalisation », a-t-il déclaré.
Les manifestants ont chanté l’hymne national et ont scandé des propos hostiles à la Cédéao. Un important dispositif des forces de l’ordre a été déployé tout le long du parcours. Des soldats de la force de la Cédéao, solidement armés et postés sur le toit et les alentours immédiats du siège de l’organisation, étaient également visibles.
Pour le coordinateur du groupe des 15 frondeurs du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau (PAIGC, au pouvoir), Braima Camara, la sanction est injuste et sans effet. « Pour nous, cette décision est fausse, injuste et sans effet. Chaque Bissau-Guinéen peut circuler librement où il veut et quand il le désire », a-t-il souligné.
La manifestation s’est terminée, en début d’après-midi, et aucun incident n’a été déploré.