Histoire ahurissante à Saly : Elle offre une fellation à un touriste, chipe son téléphone et lui réclame…

Les faits remontent au 28 juin 2023, veille de la Tabaski. La dame, Ndella, qui rentrait à Ngaparou, fait un autostop à un touriste qui prenait la même direction. Le Libanais consent à lui rendre service. Cet auto-stop finit par une fellation. Le «cadeau» qui a enivré l’homme de plaisir, au point qu’il n’a pas vu la «drianké» lui subtiliser son téléphone portable.

«Le 28 juin, vers 19h, j’allais à Ngaparou voir un ami, quand une femme m’arrête et me demande de la déposer chez elle. J’accepte et en cours de route, elle me fait des avances que je rejette. Puis, elle propose une fellation gratuite au cours de laquelle elle m’a pris mon téléphone portable», a déclaré le touriste à la barre.

La dame lui réclame 200 euros pour lui rendre son téléphone

«C’est quelques centaines de mètres, après que je me suis rendu compte que mon téléphone a disparu. J’ai appelé et elle a répondu en m’exigeant de lui envoyer 200 euros, pour entrer possession de ce téléphone», narre le Libanais. Aidé par son ami, un Anglais, qui connait mieux Saly, le touriste parvient à retrouver la maison de la prévenue qui lui avait donné son nom.

La Police qui a fait une descente chez la commerçante, y a retrouvé ce téléphone professionnel du touriste. «Je ne demande pas de dommages et intérêts dès l’instant que j’ai retrouvé mon téléphone. Ma faute à moi, c’est d’avoir cédé à l’offre de la femme. Je le reconnais mais je lui ai pardonné», a ajouté le plaignant.

Les excuses et les pleurs de la commerçante

Quant à la prévenue dont les parents étaient dans la salle, elle s’est confondue en excuses et en pleurs. «Je ne suis pas une voleuse. Je ne l’ai jamais été. Je suis une commerçante. J’ai ramassé le téléphone portable et c’est moi qui l’ai remis à la Police», s’est-elle défendue. L’affaire a été mise en délibéré pour le 27 juillet prochain.







Bes Bi