Interpellé à sa sortie, le président du Conseil départemental de Thiès et non moins leader du parti politique “Rewmi”, a réitéré sa conviction selon laquelle, le maire de Dakar paie pour ses ambitions politiques.
“Khalifa Sall est un prisonnier politique de Macky Sall et son régime prêts à tout pour éliminer des adversaires politiques”, a dénoncé Idrissa Seck. Qui, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, est d’avis que “l’union” de l’opposition pour faire face au régime de Macky Sall, est une nécessité.
“Le Sénégalais n’aime pas l’injustice et il est temps que cela cesse en Afrique”, a-t-il fustigé. Cependant, ajoute-t-il, force est de reconnaître que c’est l’arme de prédilection de Macky Sall qui utilise “la justice, la presse pour régler des comptes politiques”.
“C’est une nécessité pour toutes les forces de l’opposition de se retrouver pour mette fin à cette dérive politico-judiciaire du régime de Macky Sall”, a insisté le patron de Rewmi qui, jusque dans un passé récent, n’envoyait que (ses) seconds couteaux pour participer aux activités de “Manko Wattù Senegaal”, principale force de l’opposition.
Aussi, Idrissa Seck a révélé qu’il en a, d’ailleurs, évoqué cette question avec Khalifa Sall. “J’en ai discuté avec le maire de Dakar que j’ai trouvé en bonne santé et forme”, a conclu le Président départemental de Thiès au pas de charge à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Rebeuss.
Incarcéré pour blanchiment de capitaux, faux et usage de faux en écritures de commerce et détournement de deniers publics, Khalifa Sall croupit en prison depuis le 7 mars dernier. Mais son capital sympathie ne cesse de monter. Au fur et à mesure que l’on s’approche de la date du 30 juillet prévue pour le scrutin des Législatives au Sénégal. Au point de s'érigeren point de ralliement des leaders politiques de l’opposition qui, jusque-là, se regardaient en chiens de faïence.
Gaston MANSALY (Actusen.com)
“Khalifa Sall est un prisonnier politique de Macky Sall et son régime prêts à tout pour éliminer des adversaires politiques”, a dénoncé Idrissa Seck. Qui, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, est d’avis que “l’union” de l’opposition pour faire face au régime de Macky Sall, est une nécessité.
“Le Sénégalais n’aime pas l’injustice et il est temps que cela cesse en Afrique”, a-t-il fustigé. Cependant, ajoute-t-il, force est de reconnaître que c’est l’arme de prédilection de Macky Sall qui utilise “la justice, la presse pour régler des comptes politiques”.
“C’est une nécessité pour toutes les forces de l’opposition de se retrouver pour mette fin à cette dérive politico-judiciaire du régime de Macky Sall”, a insisté le patron de Rewmi qui, jusque dans un passé récent, n’envoyait que (ses) seconds couteaux pour participer aux activités de “Manko Wattù Senegaal”, principale force de l’opposition.
Aussi, Idrissa Seck a révélé qu’il en a, d’ailleurs, évoqué cette question avec Khalifa Sall. “J’en ai discuté avec le maire de Dakar que j’ai trouvé en bonne santé et forme”, a conclu le Président départemental de Thiès au pas de charge à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Rebeuss.
Incarcéré pour blanchiment de capitaux, faux et usage de faux en écritures de commerce et détournement de deniers publics, Khalifa Sall croupit en prison depuis le 7 mars dernier. Mais son capital sympathie ne cesse de monter. Au fur et à mesure que l’on s’approche de la date du 30 juillet prévue pour le scrutin des Législatives au Sénégal. Au point de s'érigeren point de ralliement des leaders politiques de l’opposition qui, jusque-là, se regardaient en chiens de faïence.
Gaston MANSALY (Actusen.com)