Dans une rue de New Delhi, le 3 novembre 2016
« Il a été décidé de garder les écoles publiques fermées samedi en raison du brouillard de pollution à Delhi », a déclaré Yogendra Maan, porte-parole de la municipalité de Delhi. Mais « les écoles fonctionneront normalement à partir de lundi », a-t-il précisé. La plupart des écoles en Inde donnent cours six jours par semaine, seule une demi-journée étant travaillée le samedi.
Barre record des 1 000 microgrammes par mètre cube d’air
La qualité de l’air à Delhi a dramatiquement empiré ces dernières années. L’urbanisation rapide entraîne une hausse des émissions de véhicules diesel, des usines et centrales à charbon. L’atmosphère est rendue d’autant plus asphyxiante que les campagnes environnantes allument des feux pour se réchauffer ou cuire de la nourriture dans le froid hiver nord-indien.
Ce nouvel épisode de pollution a été déclenché par les festivités pour la fête des Lumières, Diwali, où des millions de pétards sont allumés et des feux d’artifice tirés, ce qui a eu pour effet de recouvrir la capitale d’une lourde chape de pollution. Les indicateurs de certaines particules fines dans l’atmosphère ont pour la première fois dépassé la barre record des 1 000 microgrammes par mètre cube d’air – soit plus de vingt fois les valeurs recommandées par l’OMS.
Barre record des 1 000 microgrammes par mètre cube d’air
La qualité de l’air à Delhi a dramatiquement empiré ces dernières années. L’urbanisation rapide entraîne une hausse des émissions de véhicules diesel, des usines et centrales à charbon. L’atmosphère est rendue d’autant plus asphyxiante que les campagnes environnantes allument des feux pour se réchauffer ou cuire de la nourriture dans le froid hiver nord-indien.
Ce nouvel épisode de pollution a été déclenché par les festivités pour la fête des Lumières, Diwali, où des millions de pétards sont allumés et des feux d’artifice tirés, ce qui a eu pour effet de recouvrir la capitale d’une lourde chape de pollution. Les indicateurs de certaines particules fines dans l’atmosphère ont pour la première fois dépassé la barre record des 1 000 microgrammes par mètre cube d’air – soit plus de vingt fois les valeurs recommandées par l’OMS.