Le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam, a annoncé, mardi, à Dakar, la création d’un géoportail devant donner accès à des informations sur les terrains aménagés sur des sites constructibles.
« Nous allons créer un géoportail, qui permettra aux autorités, aux services publics et aux populations, de pouvoir accéder à des informations pour savoir si un terrain est aedificandi ou non », a-t-il dit.
M. Thiam présidait un atelier de restitution des résultats de la cartographie des surfaces inondables et des risques d’inondation de la zone pilote du triangle Dakar-Tivaouane-Joal, qui fait partie de sept zones ciblées dans le cadre de cette initiative.
Il a rappelé le Projet de gestion intégrée des inondations au Sénégal, d’un coût global de 10 milliards de francs Cfa, qui comporte un volet cartographique représentant environ 4 milliards FCfa.
Serigne Mbaye Thiam a précisé qu’il s’agit de réaliser, à travers cette composante, un modèle numérique de terrain au niveau national, pour connaître le sens de l’écoulement des bassins versants.
« Dans cette zone pilote, nous sommes allés plus loin avec le Lidar », système permettant « sur des distances très courtes, de connaître les altitudes et le sens de l’écoulement des eaux », a-t-il ajouté, relevant que cela a permis d’avoir un outil de simulation sur des pluies de 10 à 1 000 ans.
« C’est un modèle unique actuellement en Afrique subsaharienne, que le Sénégal est le premier à utiliser et il faut que cet outil soit valorisé », a-t-il fait valoir.
Le représentant de l’Agence française de développement, Mihoub Mezouaghi, a magnifié la mise en place de cet outil qui, selon lui, »permet de gérer les incertitudes et donner une capacité d’adaptation, permettant de prévenir des événements ou des catastrophes ».
» Ces résultats sont un outil de pilotage de la politique publique, pour faire un bon suivi en ce qui concerne la gestion des inondations », a-t-il ajouté.
Aps
« Nous allons créer un géoportail, qui permettra aux autorités, aux services publics et aux populations, de pouvoir accéder à des informations pour savoir si un terrain est aedificandi ou non », a-t-il dit.
M. Thiam présidait un atelier de restitution des résultats de la cartographie des surfaces inondables et des risques d’inondation de la zone pilote du triangle Dakar-Tivaouane-Joal, qui fait partie de sept zones ciblées dans le cadre de cette initiative.
Il a rappelé le Projet de gestion intégrée des inondations au Sénégal, d’un coût global de 10 milliards de francs Cfa, qui comporte un volet cartographique représentant environ 4 milliards FCfa.
Serigne Mbaye Thiam a précisé qu’il s’agit de réaliser, à travers cette composante, un modèle numérique de terrain au niveau national, pour connaître le sens de l’écoulement des bassins versants.
« Dans cette zone pilote, nous sommes allés plus loin avec le Lidar », système permettant « sur des distances très courtes, de connaître les altitudes et le sens de l’écoulement des eaux », a-t-il ajouté, relevant que cela a permis d’avoir un outil de simulation sur des pluies de 10 à 1 000 ans.
« C’est un modèle unique actuellement en Afrique subsaharienne, que le Sénégal est le premier à utiliser et il faut que cet outil soit valorisé », a-t-il fait valoir.
Le représentant de l’Agence française de développement, Mihoub Mezouaghi, a magnifié la mise en place de cet outil qui, selon lui, »permet de gérer les incertitudes et donner une capacité d’adaptation, permettant de prévenir des événements ou des catastrophes ».
» Ces résultats sont un outil de pilotage de la politique publique, pour faire un bon suivi en ce qui concerne la gestion des inondations », a-t-il ajouté.
Aps