La marche de la Fédération des syndicats de la santé (F2s), initialement prévue hier, mardi 22 octobre 2024, pour réclamer la généralisation de l’indemnité de logement pour le personnel contractuel, administratif et de soutien, a été interdite. Selon les membres de la F2s, ils ont reçu la notification du préfet de Dakar, portant interdiction de la marche. « Nous prenons acte et condamnons avec la plus grande énergie, cette violation de nos droits. Le droit à la marche est un droit constitutionnel, donc un droit acquis, qui n’a besoin que d’être encadré. Ce qui est regrettable, c‘est la légèreté des raisons évoquées par l’autorité administrative », a souligné Cheikh Seck, dans un communiqué.
Revenant sur les motifs de rejets évoqués par le préfet, M. Seck a évoqué le « risque d’entraver gravement la circulation des personnes et leurs biens ». Face à cette réponse servie par le préfet, la F2s a décidé de continuer le combat et demande aux militants de rester mobilisés jusqu’à l’exécution totale des accords et la satisfaction de leurs revendications.
A cet effet, la source souligne : « nous attendons une réponse rapide à nos préoccupations, dont la généralisation de l’indemnité de logement à tous les agents de la santé sans discrimination, le recrutement du personnel dans la fonction publique, la révision des textes réglementaires et législatifs dans la santé; la gestion démocratique du personnel par la convocation régulière des commissions, la mise en compétition des postes de direction, la finalisation du processus de reclassement ou intégration des infirmiers d’Etat, sages-femmes d’Etat, à leurs nouvelles hiérarchies B1et A2, la définition des critères d’allocations budgétaires et l’augmentation des subventions des hôpitaux. La régularisation de la situation du personnel communautaire et des prestataires des hôpitaux, fait aussi partie des revendications ».
Sud Quotidien
Revenant sur les motifs de rejets évoqués par le préfet, M. Seck a évoqué le « risque d’entraver gravement la circulation des personnes et leurs biens ». Face à cette réponse servie par le préfet, la F2s a décidé de continuer le combat et demande aux militants de rester mobilisés jusqu’à l’exécution totale des accords et la satisfaction de leurs revendications.
A cet effet, la source souligne : « nous attendons une réponse rapide à nos préoccupations, dont la généralisation de l’indemnité de logement à tous les agents de la santé sans discrimination, le recrutement du personnel dans la fonction publique, la révision des textes réglementaires et législatifs dans la santé; la gestion démocratique du personnel par la convocation régulière des commissions, la mise en compétition des postes de direction, la finalisation du processus de reclassement ou intégration des infirmiers d’Etat, sages-femmes d’Etat, à leurs nouvelles hiérarchies B1et A2, la définition des critères d’allocations budgétaires et l’augmentation des subventions des hôpitaux. La régularisation de la situation du personnel communautaire et des prestataires des hôpitaux, fait aussi partie des revendications ».
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