Le Maire Demba Diop est monté au créneau hier pour s’expliquer à propos du budget de la commune. Selon lui, il y a énormément de niches non encore exploitées. Il s’agit, dit-il, de biens appartenant à la commune, à la ville et qui n’ont pas encore été récupérés. Il relève qu’il y a deux marchés dans la ville, notamment le marché commercial avec plus de 900 cantines et celui de Keur Matar, avec plus de 1 000 cantines. Il révèle que depuis 12 ans, aucune de ces cantines n’a payé un franc pour le compte de la mairie. Il s’y ajoute que 4 lotissements ont été autorisés, notamment à Dabakh, Khalifa Ababacar, Goumoune et Yaguine.
Au total, il est prévu plus de 16 000 parcelles pour des droits et taxes de bornage de 100 000 FCfa par parcelle. Il a également annoncé un recensement fiscal concernant les maisons fixes ou secondaires, qui constitue également une source de revenus pour la collectivité territoriale. Pour toutes ces raisons, il affirme qu’il ne s’agit pas d’un budget conçu sur un coup de tête, mais qui a été bien pensé, bien réfléchi, qui cadre avec les possibilités.
Et à ce jour, il indique que la commune a une solde disponible de 600 millions FCfa. Il renseigne que les priorités de l’équipe municipale tournent, entre autres, autour du développement de l’économie locale, de la préservation de l’environnement et du cadre de vie, la mise en place d’une gouvernance inclusive. Sur le plan économique, il a annoncé l’aménagement d’une zone économique destinée à l’agriculture et l’élevage, le lancement du crédit municipal pour mieux accompagner les activités des jeunes et des femmes. Il s’y ajoute le lancement d’un vaste programme avec le PROMOVILLES, dans le cadre d’un nouveau pôle urbain et qui prendra en compte l’éclairage, le bitumage, l’assainissement et le pavage de 10 km de routes, qui impacteront pas moins de 12 quartiers de la cité religieuse.
Au total, il est prévu plus de 16 000 parcelles pour des droits et taxes de bornage de 100 000 FCfa par parcelle. Il a également annoncé un recensement fiscal concernant les maisons fixes ou secondaires, qui constitue également une source de revenus pour la collectivité territoriale. Pour toutes ces raisons, il affirme qu’il ne s’agit pas d’un budget conçu sur un coup de tête, mais qui a été bien pensé, bien réfléchi, qui cadre avec les possibilités.
Et à ce jour, il indique que la commune a une solde disponible de 600 millions FCfa. Il renseigne que les priorités de l’équipe municipale tournent, entre autres, autour du développement de l’économie locale, de la préservation de l’environnement et du cadre de vie, la mise en place d’une gouvernance inclusive. Sur le plan économique, il a annoncé l’aménagement d’une zone économique destinée à l’agriculture et l’élevage, le lancement du crédit municipal pour mieux accompagner les activités des jeunes et des femmes. Il s’y ajoute le lancement d’un vaste programme avec le PROMOVILLES, dans le cadre d’un nouveau pôle urbain et qui prendra en compte l’éclairage, le bitumage, l’assainissement et le pavage de 10 km de routes, qui impacteront pas moins de 12 quartiers de la cité religieuse.