La 33e édition de la journée nationale de l’arbr a été célébrée, hier, à Mbouki, dans le département de Mbirkilane, région de Kafrine. Cette initiative, qui se perpétue chaque année, a pour but, selon le ministre de l’Environnement et du Développement durable de « sensibiliser la population sur l’importance de l’arbre pour son environnement et d’inciter chaque sénégalais à planter un arbre partout où il a la possibilité de le faire ».
Le thème choisi pour cette année est : « Promouvoir une économie forestière génératrice de revenus pour les populations locales et créatrice d’emplois verts dans l’esprit des objectifs de développement durable ». Abdoulaye Bibi Baldé explique le choix de ce thème s’explique par le fait que les femmes de la localité s’activent dans le reboisement.
Cette journée a été placée sous le parrainage de l’espèce vène. Le choix de ce type d’arbre est motivé, d'après le ministre, par ses fonctions multiples. « Elle a été choisie au niveau national en raison de ses nombreuses potentialités de production et de service, de la grande importance qu’il a toujours eue dans la vie de nos sociétés et surtout de son exploitation illicite et des fortes menaces qui pèsent sur lui », a-t-il dit. Toutefois, il se dit rassuré par rapport à l’engagement de la population à protéger cette espèce « aux usages multiples sur les plans écologique, économique et social ».
Mariama Kobar Saleh
Le thème choisi pour cette année est : « Promouvoir une économie forestière génératrice de revenus pour les populations locales et créatrice d’emplois verts dans l’esprit des objectifs de développement durable ». Abdoulaye Bibi Baldé explique le choix de ce thème s’explique par le fait que les femmes de la localité s’activent dans le reboisement.
Cette journée a été placée sous le parrainage de l’espèce vène. Le choix de ce type d’arbre est motivé, d'après le ministre, par ses fonctions multiples. « Elle a été choisie au niveau national en raison de ses nombreuses potentialités de production et de service, de la grande importance qu’il a toujours eue dans la vie de nos sociétés et surtout de son exploitation illicite et des fortes menaces qui pèsent sur lui », a-t-il dit. Toutefois, il se dit rassuré par rapport à l’engagement de la population à protéger cette espèce « aux usages multiples sur les plans écologique, économique et social ».
Mariama Kobar Saleh
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