Un candidat de plus. Sauf que celui-là ne rigole pas. Loin de là. Keba Keinda croit en ces chances comme jamais. Il dit : « On ne se lance pas dans une candidature pour rigoler ». À ceux qui croient qu’il veut amuser la galerie, cet homme pétri de « valeurs » leur répond : « Si nous sommes engagés, c’est que nous croyons en nos chances ». Mais avant de se lancer dans la course, ne devrait-il pas éclairer la lanterne des sénégalais sur les commissions de la troisième licence de téléphonie auxquelles sont nom a été associé. Il est à l’aise quand il revient sur cette sombre affaire. « Je n’ai rien à voir avec les commissions occultes », dégage-t-il en touche. Keba Keinde ne s’arrête pas là. « Je n’ai aucune relation avec le gouvernement sénégalais », renseigne-t-il. Pour Keba Keinde qui a participé au projet de la troisième licence de téléphonie mobile en 2009 auprès de Zein, cette histoire n’est que de la fiction. Son combat à lui, c’est restaurer les valeurs. Et il croit pouvoir y arriver avec les ressources humaines dont dispose le Sénégal.
Un homme aux multiples facettes
Keba Keinde a vu le jour un jour de l’année 1972. Il s’est révélé un doué puisqu’il a décroché son bac à l’âge de 16 ans. Ses études supérieures, il les passa dans de prestigieuses écoles comme l’Ecole nationale Supérieure des Télécommunications de Paris et l’université scientifique américaine, MIT. Sorti de cette université avec son MBA, Keba Keinde se met à tisser sa toile. Déjà en 1989, il dirige de nombreux partenariats (publics, privés, fusions, acquisition et levées de fonds) en Afrique et au moyen orient pour un montant cumulé de 100 milliards de dollars. Au Sénégal, il prend part à de nombreux projets importants dont le premier projet de téléphonie mobile en 1996 et la privatisation de la Sonatel en 1997 auprès de Telia. Ses efforts ne seront pas vains puisque Keba Keinde recevra en 2009, le prix des « Batisseurs de l’économie africaine » octroyé dans les éditions précédentes au Milliardaire nigérian Aliko Dangote et à l’ivoirien Koné Dossongui.
Ayant plusieurs cordes à son arc, Keba Keinde est aussi un homme de culture. Qui ne se souvient pas de son fameux opus « Gorgui sonn na » en 1991. Il a connu un franc succès avec cet album. Mais cela suffira-t-il pour faire de lui le prochain président de la République du Sénégal ? En tout, cas, il semble avoir l’étoffe d’un chef d’Etat…
Un homme aux multiples facettes
Keba Keinde a vu le jour un jour de l’année 1972. Il s’est révélé un doué puisqu’il a décroché son bac à l’âge de 16 ans. Ses études supérieures, il les passa dans de prestigieuses écoles comme l’Ecole nationale Supérieure des Télécommunications de Paris et l’université scientifique américaine, MIT. Sorti de cette université avec son MBA, Keba Keinde se met à tisser sa toile. Déjà en 1989, il dirige de nombreux partenariats (publics, privés, fusions, acquisition et levées de fonds) en Afrique et au moyen orient pour un montant cumulé de 100 milliards de dollars. Au Sénégal, il prend part à de nombreux projets importants dont le premier projet de téléphonie mobile en 1996 et la privatisation de la Sonatel en 1997 auprès de Telia. Ses efforts ne seront pas vains puisque Keba Keinde recevra en 2009, le prix des « Batisseurs de l’économie africaine » octroyé dans les éditions précédentes au Milliardaire nigérian Aliko Dangote et à l’ivoirien Koné Dossongui.
Ayant plusieurs cordes à son arc, Keba Keinde est aussi un homme de culture. Qui ne se souvient pas de son fameux opus « Gorgui sonn na » en 1991. Il a connu un franc succès avec cet album. Mais cela suffira-t-il pour faire de lui le prochain président de la République du Sénégal ? En tout, cas, il semble avoir l’étoffe d’un chef d’Etat…
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