“L’Afrique est jeune. Et c’est notre plus grande richesse.”

Dès les premières pages de son livre, Macky Sall place la jeunesse au centre du débat. Il rejette la vision paternaliste d’un continent à encadrer et défend celle d’un continent à libérer.

“Nous devons offrir à nos jeunes non pas des promesses, mais des possibilités.”

Cette génération, née dans la mondialisation, ne veut plus attendre. Elle veut créer, entreprendre, décider.
Mais pour cela, il faut des politiques publiques ambitieuses :

des formations adaptées,

un environnement entrepreneurial allégé,

un accès réel à la technologie.

Macky Sall cite son expérience avec le DER (Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide), une initiative qui a financé des milliers de jeunes Sénégalais.

“Donner un microcrédit, c’est bien. Mais donner confiance, c’est mieux.”

Il insiste : la jeunesse africaine ne cherche pas la charité, elle veut la chance.
Et prévient : “Si nous ne l’écoutons pas, elle parlera autrement. Par la migration, par la colère ou par l’exil numérique.”

Son message est limpide : l’avenir du continent dépend de sa capacité à retenir ses talents.

“Les jeunes Africains doivent être les bâtisseurs de leur avenir, pas les exilés de leur continent.”

Citations

“La jeunesse africaine n’a pas besoin de tuteurs, elle a besoin de tremplins.”
“L’énergie de nos jeunes vaut plus que nos mines d’or.”

Conclusion

Dans "L’Afrique au Cœur", la jeunesse n’est pas un sujet social. C’est une force politique, un projet économique et un devoir moral. Macky Sall la décrit comme la clé du développement et la “seule vraie révolution africaine”.