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La Cellule des Cadres Libéraux de Dakar flingue Ousmane Ngom, Djibo Kâ et Frank Timis


Rédigé par leral.net le Jeudi 13 Octobre 2016 à 00:08 | | 0 commentaire(s)|

Le CCLD s’est désolé des sorties faites respectivement par Ousmane Ngom et Djibo Kâ.
Le CCLD s’est désolé des sorties faites respectivement par Ousmane Ngom et Djibo Kâ.
La Cellule des Cadres Libéraux de Dakar (CCLD) qui s’est réunie mardi en assemblée ordinaire, et en assemblée extraordinaire à la Permanence nationale du parti, a tiré à boulets rouge sur Ousmane Ngom, Djibo Kâ et Freank Timis, avant de saluer l'initiative prise par Mankoo Wattu Senegaal d'organiser une marche ce vendredi pour «sensibiliser les citoyens et citoyennes, soucieux du devenir de la Nation sur les actes posés par le régime».
 
Le CCLD s’est désolée de la sortie de Ousmane Ngom «en ce qu’elle traduit l’immaturité intellectuelle de quelqu’un qui a occupé de hautes responsabilités gouvernementales et qui se révèle être incapable de mesurer la portée de ses élucubrations» et «regrette surtout qu’un homme, dont l’esprit s’est ouvert à la réalité du monde grâce à Maître Wade, tombe aussi bas et se laisse instrumentaliser pour échapper à une cour de justice elle-même instrumentalisée (la Crei), et surtout qu’il réussisse le tour de force de s’illustrer aussi tristement».

Hormis Ousmane Ngom, Djibo en a aussi pris pour son grade de la part du CCLD qui a fustigé avec véhémence «les soi-disant conseils avisés de Djibo Ka suggérant le prolongement du mandat des députés par le couplage présidentielle/législatives. A ce monsieur dont tous les Sénégalais ont identifié la promptitude à virer de bord, au gré des râteliers, la CCLD recommande tout bonnement de méditer ces paroles de Montesquieu : «Ne sentirons-nous jamais que le ridicule des autres?»

En abordant l’affaire PETROTIM, la CCLD estime que, «dans tous les cas, loin de constituer une menace pour ceux que monsieur Timis qualifie de diffamateurs, cette plainte est une aubaine pour les défenseurs des intérêts du Sénégal réunis dans l'opposition et la société civile, pourvu que le procureur de la République diligente l’affaire et que, dans les meilleurs délais, l’on puisse voir le bien du peuple revenir au peuple et non à une famille et à ses thuriféraires».

Massène DIOP Leral.net