A grand Yoff, c’est la consternation dans la famille de celle qui est supposée être la responsable du groupe de jeunes filles qui ont joué le film érotique de quinze minutes. L’on rapporte que le jour où cette affaire a été connue, la famille de cette dernière a eu du mal à sécher ses larmes. On y a pleuré comme s’il y avait un deuil. Et jusqu’à présent, la gêne est le sentiment le mieux partagé dans la famille « très respectée », nous indique-t-on. Son père ne sort presque plus, ou rase les murs. Il est traumatisé. D’ailleurs, c’est pour atténuer cet état de choc qu’Anna Basse, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, a été d’abord évacué à Guédiawaye avant d’être envoyé en Guinée Bissau, son pays d’origine.
Jusqu’aujourd’hui, nous raconte-t-on, personne n’arrive à expliquer ce qui est arrivé à cette fille qui pourtant été très bien éduquée. Anna a perdu sa mère il y a près de 6 mois, une femme jugée brave par ses voisins et qui a perdu la vie en partance pour Ziguinchor. Elle se battait jour et nuit pour rendre heureuse ses enfants. C’est pourquoi le père d’Anna et ses voisins ont du mal à croire ce qui vient de leur arriver.
C’est le même cas pour Fatmata qui était l’année dernière à l’école franco-Arabe de Castor. Elle fréquente actuellement un établissement de coiffure. Sa mère aussi ne se doutait pas non plus que sa fille ferait une telle « bêtise ». Selon des proches, Fatmata qui vit avec sa famille à la Patte d’Oie Builders, était surveillée comme du lait sur le feu par sa mère très jalouse et regardant » sur le comportement de ses enfants. C’est pourquoi, cette affaire de lesbienne l’a abasourdie. Comme toute la famille d’ailleurs.
La Tribune
Jusqu’aujourd’hui, nous raconte-t-on, personne n’arrive à expliquer ce qui est arrivé à cette fille qui pourtant été très bien éduquée. Anna a perdu sa mère il y a près de 6 mois, une femme jugée brave par ses voisins et qui a perdu la vie en partance pour Ziguinchor. Elle se battait jour et nuit pour rendre heureuse ses enfants. C’est pourquoi le père d’Anna et ses voisins ont du mal à croire ce qui vient de leur arriver.
C’est le même cas pour Fatmata qui était l’année dernière à l’école franco-Arabe de Castor. Elle fréquente actuellement un établissement de coiffure. Sa mère aussi ne se doutait pas non plus que sa fille ferait une telle « bêtise ». Selon des proches, Fatmata qui vit avec sa famille à la Patte d’Oie Builders, était surveillée comme du lait sur le feu par sa mère très jalouse et regardant » sur le comportement de ses enfants. C’est pourquoi, cette affaire de lesbienne l’a abasourdie. Comme toute la famille d’ailleurs.
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